J’ai voulu aimer Le dressing de Cendrillon. Sur le papier, le thème était puissant : l’acceptation de soi, la pression sociale de l’apparence, l’identité de genre. Tout ça, c’est précieux, nécessaire, et ça mérite d’être raconté.
Mais voilà… la romance est tellement niaise qu’elle casse tout l’impact. Trop de clichés, trop de prévisibilité, trop de simplicité dans le scénario alors qu’il y avait matière à creuser vraiment. Le format de 20 minutes n’aide pas : tout est survolé, bâclé, sans vraie profondeur. Les personnages secondaires sont là comme décor et rien de plus.
Résultat : une belle idée étouffée par une exécution trop légère. Dommage, parce que le sujet valait mieux que ça.