Une suite tout autant imparfaite que prodigieuse (+ Un ancien avis à chaud sur l'épisode 1)

Cette saison 2 met une vitesse à son aîné, que j'avais déjà adoré.

Visuellement, CloverWorks a mis les bouchées doubles.

L'équipe créative n'hésite pas à aller piocher dans différents styles d'animations pour nous surprendre, ou même à nous en mettre plein la vue au niveau des couleurs et des détails.

Ils ont aussi mis un point d'honneur à l'immersion en prenant plus de temps que dans la saison 1 à mettre en scène les œuvres d'où sont tirés les cosplays de l'héroïne.

En parlant de cosplay, j'ai eu l'impression qu'il était encore plus le moteur de l'intrigue dans cette saison, et j'ai adoré ça.

Ça parle de crossdressing (d'une façon très belle, tout en n'étant pas utopique), d'accessoires, de photographie, etc.

Il y a des explications à gogo, et en plus la façon de les mettre en scène se renouvelle pour ne pas ennuyer le spectateur moins curieux.

Concernant le casting, on a de nouveaux personnages qui sont très biens introduits, avec certains qui ont su me rendre fan d'eux (Akira, Miyako et Amane).

Mais des personnages qui étaient tertiaires au début de l'œuvre ont aussi le droit à leur mise en avant. En plus, certains amènent une évolution du protagoniste, et cette dernière m'a beaucoup touché.

Malheureusement, la saison 2 a quelques épisodes qui touchent à des clichés de la romance que je n'aime pas du tout, dont un qui sert de conclusion et me laisse un goût amer en bouche.

Cependant, je connais quelques éléments de la suite qui me rendent confiante sur l'évolution de la romance principale, qui ne va pas rester du slow burn encore longtemps.

Surtout qu'ils ne restent que quatre tomes à adapter.

Et cela me rassure, car si j'aime autant cette série c'est aussi pour son duo que je trouve adorable, autant ensemble qu'individuellement.

J'ai donc très hâte de la suite, qui permet malgré tout à cette œuvre de passer dans mon top de mes animés préférés.

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[Avis sur l'épisode 1 écrit le 10 juillet 2025]

J'avais mis cinq 10/10 sur les douze de la première saison 1 : ce n'est donc pas étonnant si le premier épisode de cet saison 1 a cette même note.

La prod est encore plus folle qu'en 2022, CloverWorks a vraiment des très bons réalisateurs (Keisuke Shinohara ici) et animateurs.

C'est vraiment un régale pour les mirettes, mais c'est aussi pour ces personnages que je suis autant à fond sur cet animé.

Marin est un véritable rayon de soleil remplie d'enthousiasme, et Gojo est aussi adorable de tendresse et de passion : je ne me laisse pas de les écouter parler d'animés, de cosplays et de couture !

Même si je reste surtout fan de la première, car la voir folle amoureuse du héros sans que ça la rende ni trop taquine ni trop timide : c'est juste trop sucrée !

Sinon on aura l'ending une prochaine fois, mais l'opening est encore une fois une réussite autant musicale que visuel. En soit ce n'est pas surprenant car cela reste Spira Spica à la musique, comme pour le premier opening auquel je mets 9,5/10.

Pour finir, la présence de scènes érotiques peuvent gêner certains spectateurs. Mais de mon côté, je trouve que c'est bien inclus dans la diégèse du récit et que ça devient limite de l'art vu comment elles sont bien animées et mises en scène.