La série explore davantage la dualité entre les "innies" et les "outies" en approfondissant ses thèmes sur l’identité, le libre arbitre et la nature du travail moderne.
Cette saison traite notamment des concepts de whitewhashing, d'évaluation de performance ou encore des séminaires d'entreprise.
Visuellement et émotionnellement, la saison 2 reste fidèle à son univers étrange et immersif, jouant habilement avec les codes des grandes entreprises et des récits dystopiques.
Le cast est toujours très bon, la performance d'Adam Scott est monstrueuse, tout comme celle de Tramell Tillman excellent en Milchick et mention à John Turturro toujours aussi bon.
Mon seul reproche est le rythme de la narration en dent de scie, avec un début de saison qui a une approche plus lente et axée sur les personnages, pour ensuite accélérer brusquement vers les révélations finales.
Vivement la suite, mais j'espère aussi qu'ils sauront s'arrêter à temps pour que la série ne s'enlise pas dans une mythologie de plus en plus complexe, à l'instar de Lost par exemple.