Stalk, pour une mini-série « indé », a le mérite de présenter plusieurs qualités. Elle est didactique en expliquant le « stalk » ( façon de suivre les gens en s’introduisant dans leurs portables et capturer sons et images pour faire court).Les réalisateurs de la série ont aussi assez bien organisé leur trame pour qu’intrigue et explications techniques se déploient avec une fluidité remarquable.Conçue pour une jeune génération en cœur de cible, Stalk peut intéresser un public plus vaste. Le casting de jeunes tient la route et Clément Sibony fournit aussi une bonne prestation.Le format de 20/25 minutes par épisode est idéal car il permet l’efficacité narrative sans lasser.Bref, une bonne surprise pour cette année 2020, pas forcément si riche en séries de grand calibre.