Tales from the l'ennui.

Et si je filmais tout à deux à l’heure pour rendre mon propos faussement profond ? Et si j’écrivais de longues scènes de marche, de regard au loin, de respiration. Ouais, c’est pas mal ça fait mystérieux et réfléchi, on dirait même que c’est philosophique, puis avec Terrence Malik ça marche, non ?

Chaque épisode tient sur un paragraphe qu’on essaye d’étendre pendant 50 minutes à chaque fois à coup de silence trop puissant de la mélancolie de la mort de l'intelligence profonde de l'esprit du subconscient de l'ennui. Le jeu d’acteur est médiocre et très souvent incohérent, mention spéciale au grand frère et à la mère qui arrivent parfaitement à ne communiquer aucune émotion.

Que ce fut difficile de finir la série. Dieu merci j’ai pu regarder en x2 par moment. Pourtant la série est plutôt bien notée, peut-être que je suis passé à côté de quelque chose, ou peut-être que les histoires qui n’ont rien à raconter ce n’est pas pour moi.