Malgré une tartine de fan service, de la réutilisation à gogo de lieux communs propres à l'univers et une couche de japoniaiseries disséminées ici et là, la série s'efforce tout de même (plus ou moins adroitement) d'aborder les thèmes laissés en suspend par les inlassables itérations d'une saga essoufflée depuis belle lurette : voyage dans le temps, boucle temporelle, cohérence scénaristique globale, ainsi que les IAs et leurs motivations.
En cela, « Terminator : Zero » constitue une œuvre très imparfaite mais bien plus originale et intéressante que tout ce qui a vu le jour depuis (déjà !) plus d'une trentaine d'années...
Espérons qu'une saison 2 voit le jour et approfondisse sérieusement tous ces sujets!