The White Lotus
7.3
The White Lotus

Série HBO (2021)

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saison 1

The White Lotus est un de ces nombreux hôtels de luxe situés à Hawaï accueillant des personnes fortunées et désireuses de se ressourcer dans un décor de rêve sans avoir à bouger un doigt de pied. Ainsi, si Rachel ne gardait pas en tête l’idée saugrenue de vouloir percer dans le milieu du journalisme, ne serait-ce pas le plus bel endroit du monde pour effectuer son voyage de noces ? Tout ceci alors même que son mari Shane, jeune, beau et très riche, a largement de quoi subvenir à ses besoins sans qu’elle se rabaisse à exercer un emploi indigne de son rang ! De même, si comme Tanya, vous étiez une femme aussi névrosée et alcoolique que chirurgicalement refaite, le décor d’Hawaï ne vous paraîtrait-il pas idéal pour jeter à la mer les cendres de votre mère, certes odieuse, mais assurément morte ? Et enfin, quoi de plus idyllique que de passer une semaine de vacances en famille pour permettre à Nicole de décompresser du travail à responsabilité qu’elle effectue dans le milieu d’internet ! Travail qui ne lui permet malheureusement pas de rester éloignée de son ordinateur trop longtemps... De plus, qui sait si Quinn, le plus jeune de la famille, n’en profiterait pas pour mettre de côté son téléphone quelques instants ? Par ailleurs, ce serait aussi l’occasion pour Olivia d’oublier de s’en prendre éternellement à son frère et de penser à autre chose qu’à se droguer avec sa copine Paula en critiquant l’étroitesse d’esprit des adultes qu’elle côtoie. Quant à Mark, le mari de Nicole, il s’agirait pour lui de se sentir exister en dehors du fait que ses testicules gonflées lui fassent redouter un cancer. Tout semble donc réuni pour que ces vacances restent gravées dans leur mémoire, surtout qu’Armond, le gérant de l’hôtel, est disposé à assouvir tous les caprices de ces touristes en quête de quiétude et de calme. Malheureusement, comme on constate en ouverture qu’au moment de retourner chez soi, Shane se trouve non accompagné à l’aéroport et qu’un meurtre a été commis à l’hôtel, on comprend vite que ces quelques jours de repos n’ont pas pris la tournure escomptée.

Décidément, le monde des séries américaines se penche de plus en plus sur l’indécence du milieu des ultra-riches, totalement déconnectés d’un monde qu’ils ne cherchent plus à comprendre. Comme dans "Succession", on a affaire ici à des êtres méprisables centrés essentiellement sur leur petite personne. Comme dans "Succession", il est bien difficile de trouver qui, de ces affreux personnages, trouvera grâce à nos yeux. Et comme dans "Succession", il nous est bien difficile de ne pas trouver ces portraits odieusement jubilatoires. La faute essentiellement à des dialogues aux petits oignons qui allient sérieux (tous sont convaincus de leur bon droit et de la justesse de leurs réactions), impudeur (Tanya et Mark sont à ce niveau indétrônables dans la manière qu’ils ont à se plaindre de leur condition) et violence (le dialogue plein de condescendance qui oppose Nicole et Rachel est à ce titre d’une incroyable efficacité). Et cette écriture chirurgicale amène le spectateur à ressentir diverses émotions : gêne, mépris, rejet… qui bien souvent se transforment en rire défensif devant tant d’attitudes insupportables. Mais le pire, c’est qu’en y réfléchissant un peu, les reproches qu’ils s’adressent les uns les autres sont souvent d’une grande pertinence. On ne peut pas dire que le regard qu’Olivia porte sur sa famille soit absurde, ni que la place de Mark en son sein soit enviable. Mais la vision qu’ils portent sur-mêmes et la manière dont ils cherchent à exister ne dépassent jamais le cadre de la pensée du milieu dans lesquels ils s’inscrivent. La domination de l’autre par l’argent ou le statut social, la réinstauration symbolique de la place traditionnellement dévolue à chaque membre de la famille constituent le socle de leurs valeurs. Ainsi, dans cette caste dominante, la place de la femme et de l’homme dans la société, ainsi que le regard que ces individus portent sur ceux qui n’appartiennent pas à leur monde, sont d’un conservatisme moral sidérant. Et si une femme peut réussir, c’est en écrasant son prochain, comme un homme se doit de le faire.

En cela donc, « The White Lotus » se distingue clairement de « Succession » qui se contente de décrire un milieu et ses enjeux sans le mettre en parallèle avec le monde dans lequel il s’inscrit. Or, quoi de mieux qu’un hôtel de luxe pour dépeindre le fracture existant entre les nantis et ceux qui les servent, ces invisibles interchangeables dont la légitimité de l’existence ne repose que sur le fait qu’ils aient quelqu’un à servir. Et peu importe que ce personnel soit principalement issu d’un peuple colonisé, réduit ici à dévoyer sa culture auprès d’individus enthousiasmés par ces spectacles exotiques qui n’ont d’autres rôles à leurs yeux que celui de les divertir. Dans ce cadre, pourquoi sortir de l’hôtel et de son confort pour se confronter à l’altérité quand l’autre en question peut venir à nous et nous contenter car telle est sa fonction ? Sans manichéisme, la série pointe ainsi du doigt le gouffre qui sépare deux mondes. Et si l’un d’eux regarde l’autre vivre en ouvrant de grands yeux incrédules devant tant d’obscénités, le second se contente juste de scruter son nombril. Le constat est d’autant plus terrifiant que même lorsque qu’un pont semble se dresser entre ces deux entités, soit sa traversée s’avère trop périlleuse, soit ses fondations, basées sur de simples promesses, sont clairement branlantes. Ces échecs répétés ne peuvent finalement que renforcer la frustration et le désarroi d’une population qui n’en finit plus d’être humiliée mais n’a d’autres choix que d’accepter sa dépendance pour préserver le peu qu’elle possède.

Alors nous aussi, on s’exaspère. Et le jeu des acteurs, tous excellents, contribue largement à ce sentiment. Comme Rachel, on manque de tomber de notre chaise quand Shane ou sa mère évoquent leur vison du monde. Nous aussi, on est consterné par l’égocentrisme et le ton larmoyant de Tanya (quelle prestation sous Xanax époustouflante de Jennifer Coolidge!) et on espère que ses fichues cendres lui soient renvoyées en pleine figure par une bourrasque malencontreuse. De même, comme Armond, on a envie de délaisser le sourire de façade qu’il manifeste en toutes circonstances pour pourrir la vie de ces touristes ingrats et imbus d’eux-mêmes. Pour ne rien arranger, la photographie superbe de Ben Kutchins (qui a troqué le bleu de « Ozark » pour le sépia granuleux) nous imprègne d’une ambiance de carte postale que la musique, faussement tribale, rend plus poisseuse et suffocante que joyeuse et dansante. A ce titre, difficile de ne pas évoquer la qualité d’un générique qui nous plonge d’emblée dans un style colonial malsain que la série parvient à mettre en avant avec brio.

Toutefois, il est dommage que cet aspect formel, jusque là impeccablement maîtrisé, soit trop appuyé lors d’un dernier épisode qui pêche par ses ralentis inutiles et sa musique omniprésente, le rendant long et un peu ennuyeux. Cet excès de zèle agaçant est heureusement en partie compensé par un dénouement narratif cohérent, certes d’un pessimisme désolant, mais d’une pertinence absolue. Et si un des personnages parvient à traverser le pont qui pourrait le faire sortir de son carcan, il est bien la seule lumière apportée à un tableau qui remet chacun à la place qui lui était initialement attribuée. La malheur des uns continue, pour le moment, à faire le bonheur des autres.

Cette chronique est à retrouver sur ce lien : https://seriephiledudimanche.jimdofree.com/2022/04/17/the-white-lotus/

saison 2

Une première saison corrosive

La saison 1 de « The White Lotus » avait été l’une des révélations de l’année 2021. Elle décrivait le comportement indécent de riches personnes en vacances dans un hôtel luxueux (qui donne le nom à la série) sur l’île d’Hawaï. On apprenait en introduction qu’un résident (mais lequel?) avait été retrouvé mort dans ses couloirs. Que s’était-il donc passé pour que celui-ci vienne gâcher la fête de manière inopportune ? S’ensuivait une reconstitution des événements qui avaient abouti à ce fâcheux incident. Mais le principal intérêt résidait malgré tout dans la peinture d'un microcosme aveuglé par le pouvoir que l’argent lui confère. La série accumulait les scènes aussi désopilantes que pathétiques où les protagonistes passaient leur temps à se regarder le nombril, persuadés de la pertinence de leur vision du monde. Leur égocentrisme nauséabond virait au mépris de l’autre le plus total, particulièrement envers ceux au statut social plus modeste. Formellement, « The White Lotus » nous plongeait dans une atmosphère poisseuse, rendue encore plus dérangeante par un cadre paradisiaque dont émanait un goût rance de colonialisme moderne. Malgré un dernier épisode moins maîtrisé, on ressortait de ces 6 épisodes abasourdi par la pertinence du propos, la violence de sa description et l’originalité de sa mise en scène. Après un tel uppercut, il semblait tout de même délicat de renouveler l’expérience sans retomber dans des redites narratives ou thématiques…

On prend (presque) les mêmes et on recommence...

Et c’est vrai que dès les premières mesures, on est en terrain connu. De riches personnalités débarquent au compte-goutte dans ce magnifique palace de Taormine, le San Dominico Palace de son vrai nom, un ancien couvent du 14ème siècle jouxtant les flancs du mont Etna et surplombant la mer de sa majestueuse stature. Une nouvelle fois, tous sont reçus par le personnel qui, après avoir salué de la main l’arrivée de ses prestigieux résidents, se plie à arborer des sourires de circonstances strictement orchestrés par Valentina, la despotique directrice de l’hôtel. Arrive alors la « ravissante » Tanya, déjà présente à Hawaï, mais accompagnée cette fois-ci de son assistante Portia et de Greg, son nouveau compagnon qui tenait à se rendre en Sicile. Mais celui-ci ne supporte pas la présence à leurs côtés de cette Portia qui se voit dès lors contrainte de se faire discrète… Très discrète… Vient ensuite Dominic Di Grasso, un riche quinquagénaire accompagnant son père Bert sur la terre de leurs ancêtres dans l’espoir d’y retrouver d’éventuels rescapés familiaux potentiellement restés au pays. La femme et la fille de Dominic ayant eu vent de ses adultères répétés, seul son fils Albie a daigné prendre part au voyage bien qu’il ne cautionne pas, lui non plus, les agissements de son paternel. De son côté, Cameron, richissime beau gosse marié à la ravissante Meghann, a convié Ethan, une ancienne connaissance du lycée, à passer des vacances en leur compagnie. Mais Harper, la compagne de ce dernier, se montre vite sceptique quant aux intentions cachées de cet « ami » arrogant et sûr de lui. Les vacances s’annoncent donc tendues, surtout que Lucia et Isabella, deux jeunes locales, débarquent à l’hôtel, comptant bien profiter des poules aux œufs d’or qui peuplent « The White Lotus ». On voit tout de même que si ce tableau se compose d'un lieu et de personnages différents de ceux de la première saison, il n’en reste pas moins similaire du point de vue de l’environnement et du profil social de ses protagonistes. Surtout qu’ici aussi, un corps est découvert, flottant dans l’eau, ce qui aboutit à revenir sur les pas des événements passés. Bref, un air de déjà-vu, presque de l’auto-plagiat, se fait sentir et laisse le spectateur plutôt dubitatif à la fin du premier épisode…

Mourra ou pourra pas ?

Mais tout en douceur, la série va s’éloigner progressivement du climat et des enjeux de son premier opus pour laisser la magie reprendre le dessus jusqu’à un épilogue, cette fois-ci, absolument magistral. Il faut dire que sur le plan narratif, Mike White et son équipe ont plus travaillé leur sujet. En effet, si le mort de la saison 1 constituait surtout un prétexte pour développer un propos, on est ici en présence d’une intrigue qui, si elle se fait un temps oublier, devient un élément participant grandement à la qualité de son final. Durant cette heure, chaque protagoniste se retrouve à un moment donné dans une posture susceptible de se voir finir au fond de l’eau. Et quand l’étau de la caméra se resserre une fois pour toute sur le lieu du drame, on assiste à un moment de cinéma aussi tragique que grotesque mais incontestablement digne des meilleures séries policières. Un régal…

La sexe comme arme de destruction massive

Mais globalement, mise à part l’inénarrable Tanya, (quelle prestation encore de la succulente Jennifer Coolidge !), dont la naïveté et l’égocentrisme finissent presque par nous paraître sympathiques, l’humour glaçant qui faisait le sel du premier volet laisse place à une noirceur foncièrement dérangeante. En effet, outre le regard toujours condescendant porté par la plupart des personnages sur ceux qui ne côtoient pas leur monde, il transparaît désormais que, quand se préoccuper de son argent se révèle être une perte de temps, il devient important d'asseoir sa domination sur d'éventuels concurrents. Montrer que l’on tient les rênes du pouvoir, que l’on a de l’emprise psychologique sur son semblable... Et pour cela, comme le montant du compte en banque n’est plus un critère, il y a le sexe. Séduire, tromper, manipuler pour semer le doute et déstabiliser son adversaire jusqu’à se glisser dans sa tête. Le sexe, c’est le tendon d’Achille de ces êtres qui se croient hors d’atteinte mais peinent à se sentir désirés et à assouvir leur narcissisme débordant. Il constitue également une porte d’entrée sur un univers d’où émerge la possibilité d’un avenir meilleur, à condition de renoncer à sa dignité avant d"en franchir le seuil. Il sait aussi se placer comme le stade ultime d'une luxure au parfum aussi enivrant que vénéneux. Et quand il n’est rien de cela, il est simplement concupiscent. De fait, chaque être humain peut se sentir concerné par la manière dont ces riches personnes, affranchies des préoccupations qui régissent la vie quotidienne de tout un chacun, cherchent à prendre place dans leur environnement.

Le diable est dans les détails

Tout cela pourrait tourner à la thèse ennuyeuse si la psychologie des personnages n’était traitée avec autant de finesse. Les salauds du début parviennent à se montrer touchants ; ceux que l’on croyait dépourvus de vices devenir monstrueux. Et si les dialogues ne sont pas aussi grinçants qu’ils ne l’étaient dans la première saison, leur simplicité apparente ne nous empêche pas, à titre d’exemple, de ressentir la force troublante du déni dans lequel Bert se débat maladroitement… Ils exposent sans retenue le caractère outrageusement provocateur du toast porté par Cameron à un auditoire médusé ou l’incompréhension d’un père pris au dépourvu devant la grossièreté du chantage que son fils lui fait subir… Mais là où Mike White se montre particulièrement brillant, c’est dans sa capacité à saisir la puissance des émotions qui traversent ses personnages sans jamais les nommer. Ainsi, comment rester de marbre devant le visage soudainement déconfit de Meghann, en proie à une énième humiliation ? De même, le temps d’une pause suivie d’un regard furtif derrière son épaule, on peut entrevoir chez Lucia une forme de remords à s’être ainsi livrée à un jeu aussi cruel. On pourrait encore citer la terreur qui s’abat sur Portia au moment où elle prend conscience du pétrin dans lequel elle s’est fourrée ou la béatitude désolante de Tanya suite à son signe de main incongru adressé à la reine de Sicile… Il faut saisir l’intensité narrative de ces moments fugaces pour prendre la mesure de l’incroyable capacité de White à diriger ses acteurs. De plus, il a su faire preuve de choix narratifs audacieux en usant de l’ellipse pour plonger le spectateur et les protagonistes de cette histoire dans l’incertitude. La teneur réelle des actes auxquels certains semblent prêts à s’adonner ne nous est pas toujours dévoilée, jetant le trouble sur la pertinence des soupçons qui les assaillent.

Une splendeur de mise en scène pour une œuvre splendide

Pour couronner le tout, l’aspect formel de la mise en scène est maîtrisé de bout en bout : ainsi la bande-son fait la part belle à des chansons italiennes fraîches et chaleureuses servant de contre-point au malaise ambiant. L’image se concentre sur le mouvement furibond des vagues dont la beauté ne suffit pas à masquer la violence de leur fracas sur des rochers irradiés de soleil. Et enfin, il y a ces plans fixes récurrents sur des peintures baroques chargées d’histoire qui, partout, illustrent la puissance des pulsions refoulées d’êtres auquel il ne reste que le vernis social pour paraître civilisés. Malgré tous leurs efforts pour garder la tête haute, il ne peuvent échapper au regard accusateur des nombreuses « Testa di Moro » issues du patrimoine culturel de l’île. Les visages qui ornent ces fameux vases mettent en scène une jeune sicilienne ayant coupé la tête de son amant Maure après qu’elle a appris que celui-ci était marié. De cette tête, elle en a fait un vase dont elle peut désormais prendre soin jusqu’à sa mort. Clairement, rarement l’art d’une contrée aura servi le récit dans lequel il s’inscrit avec autant de classe. Globalement, rarement une série aura été si esthétiquement travaillée, sans que cela paraisse gratuit ou prétentieux. Alors, si on craignait que la seconde saison de cette anthologie soit redondante avec ce que White nous avait déjà proposé précédemment, il est évident que l’on s’était totalement trompé. Il est parvenu à créer une œuvre d’une intelligence de ton et de propos unique, se payant le luxe d’agrémenter sa narration d’un esthétisme envoûtant présent dans l’unique but de la servir et de nous ravir. Bravo !

https://seriephiledudimanche.jimdofree.com/2023/01/14/the-white-lotus-saison-2/

Disponible sur MyCanal

vosarno
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le 15 janv. 2023

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