🎼 La tristitude, c'est hum, c'est ouh, c'est eux, c'est vous, c'est la vie qui te dis que ça ne vas pas du tout 🎼 (Oldelaf / "La tristitude").
La vie de nos 4 héros est d'une tristesse à faire peur (on se croirait dans un film français c'est dire). Cela dit, sur ce plan là , Vingt-Cinq est plus réaliste que la moyenne. Mais bon, avec le fait que je me reconnaisse dans cette jeunesse, je me demande si ce n'est pas la tristitude ^^
"Les gens ils avancent et moi je recule, j'suis un saumon en fait". Voilà une des répliques qui montre bien l'état d'esprit de la dramédie et ce à quoi, Jérémy et ses potes essayent de trouver des solutions. Après, leur vie n'est peut-être pas ouf mais elle n'est pas si merdique que ça. Ils n'arrivent "juste" pas à en profiter (seul Alex arrive à penser positivement).
La série d'OCS a ses défauts et ses passages qui me plaisent moins (avec un humour malaisant par moment) mais dans l'ensemble, j'aime vraiment bien. Comme je le disais tantôt, y'a un certain réalisme dans les situations. Crédibilité également apportée par les dialogues bien servis par de bons comédiens. Bryan Marciano, Pierre Lottin, Alexandre Boublil et Pablo Pauly forment une joyeuse bande qui fonctionne assez bien.
Bref, Vingt-cinq est imparfaite mais que j'apprécie parce bien dans son époque. Je regrette qu'il n'y ai pas de saison 2, y'avait moyen d'approfondir les personnages et de corriger quelques défauts.
Notes: entre 13.5 et 14.5
Moyenne : 14.33/20