Les meilleurs films d'animation Pixar selon LeMalin

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L'histoire a mis du temps à s'en apercevoir mais c'est bel et bien Pete Docter le patron de la boite.

Nb : Mike qui se fait recouvrir sur chaque photo, meilleur running gag ever.

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Rien que pour ce plan extraordinaire où Buzz passe dans un rayon rempli avec ses semblables. A ce moment-là, il n'est plus question de dessin animé ou de film pour enfant mais bien de grand moment de cinéma.

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A se demander pourquoi on cherche encore à faire des films de super héros après ça.

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Un jour, un grand homme a dit " Quand on s'intéresse à une culture, on en apprend la langue". Un sage conseil qui n'est jamais arrivé aux grandes oreilles de Disney, mais qui a semble t'il fait son chemin jusqu'au bureaux de Pixar.

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John Lasseter : Et si les jouets avaient une âme ?
Andrew Stanton : Et si les machines avaient une âme ?
Pete Docter : Et si les âmes avaient une âme ?

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Inutile de le préciser, si Wall-E ne durait qu'une demi-heure il serait premier.

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L'intro époustouflante, la verve de Carl Fredricksen, l'audace d'aborder frontalement le deuil comme sujet, cette idée magnifique de la maison qui s'envole avec les ballons d'accord.

Mais on en parle de la deuxième partie avec le vieux méchant, son armée de chien, et cet oiseau idiot qui braille tous les 2min ?

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Toujours drôle de constater qu'il faut lancer un film américain pour avoir une vision positive de Paris.

Accessoirement une belle publicité pour la ratatouille, pourtant pas le plat le plus ragoutant de la grande gastronomie française.

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Classique et efficace, et même plus intelligent qu'il ne peut y paraitre aux premiers abords. Finalement une belle démonstration du concept de simplexité cher à Pixar.

Et notons aussi la prouesse d'avoir réussi à créer des poissons expressifs.

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Devait initialement se nommer "The Jack Jack Show" mais c'était moins vendeur.

Dommage que les nouveaux supers soient si anecdotiques, ça ne va pas aider pour faire la suite.

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Beaucoup de recyclage d'idées, un peu trop de Barbie & Ken, une profusion de gags qui prend le pas sur le développement des personnages, mais aussi cette fin stratosphérique qui vient conclure la trilogie de la plus belle des manières (Comment ça il y a une suite ?).

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Ce qui est terrible avec Inside Out, c'est qu'aussi maligne soit la mise en scène de ses idées, on ne peut s'empêcher de se dire qu'il y avait moyen d'aller encore plus loin dans leur exploitation.

C'est le revers de ces films high concepts, tiraillés entre un besoin d'accessibilité au tout public et une envie de proposer des pistes de réflexions plus matures.

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Plus le temps passe, plus on en oubliera la prouesse technique. Mais il restera à jamais le premier. A jamais le premier.

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Faut accepter cet étrange monde humain créé et peuplé par des voitures, mais ensuite ça se passe bien (Plus ou moins).

Bon, on va pas se mentir Cars c'est vraiment la franchise très jeune public de Pixar même si la réalisation incroyable de scènes de courses essaiera de faire croire le contraire aux parents crédules.

Annotation :

Un joli voyage sur la riviera italienne… et puis c'est un peu près tout.

La touche mozzarella du top : c'est frais, c'est tendre et doux, mais ça manque un peu de goût.

Annotation :

+ Le feu. Aussi vivifiant que stupéfiant, entièrement animé en 2D dans un univers en 3D, comme pour renforcer son statut d’élément étranger.

- L’intrigue et son déroulement d’une banalité confondante. Confirmation s’il en faut que Peter Sohn est un réalisateur fantôme après l’encore plus oubliable The Good Dinosaur.

- Souffre de la comparaison possible avec le bien meilleur Zootopia dont il partage d’évidentes similitudes. A la grande époque c’est Disney qui copiait Pixar pas l’inverse.

Annotation :

Dans l'ombre de Antz un Pixar oublié, sans étonnement tant les productions suivantes viendront le surclasser.

Pas inintéressant pour autant de s'y pencher ne serait-ce que pour son esthétique singulière, voir une limace commander un plat sans sel, la prestation impeccable de Kevin Spacey en méchante sauterelle, ou pour faire la rencontre de Slim, l'étrange insecte bâton.

Annotation :

Si c'est vraiment ce film qu'a vu Andy étant gamin, seul une rupture de stock peut justifier le fait qu'il ne soit pas ressorti du magasin de jouet avec un chat qui parle plutôt qu'un ranger de l'espace dans les mains.

Annotation :

Un prequel inutile qui ne parvient jamais à justifier son existence. Alors oui, on lâchera un ou deux sourires devant quelques gags mais c'est toujours triste de constater un tel manque d'ambition.

Annotation :

Suite qui peine terriblement à justifier son existence, abuse des déboires émotionnelles de Woody jusqu'à épuisement, ouvre la question de la vie et de la mort des jouets sans y répondre convenablement, transforme une poupée de porcelaine en figure de girl power aseptisée sans grande justification, et relègue les jouets jugés secondaires de la bande à de tristes rôles de figuration.

Mais sinon c'est sympa, et Keenu Reeves trouve un de ses meilleurs rôles en Duke Caboom.

Annotation :

Plus connu pour son développement chaotique que pour sa qualité finale.

Brave reste malgré tout un sincère cri d'émancipation, une relecture malheureusement trop maladroite du conte de princesse, et toujours une très bonne adresse pour admirer des cheveux animés en 3D.

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Il y avait surement beaucoup de chose à faire artistiquement parlant avec cet univers d'urban fantasy, mais au final le truc le plus marquant c'est une paire de jambes avec un pantalon crème. Faites-en vos propres conclusions.

Annotation :

La définition même de osef.

Dommage de ne pas avoir exploité le postulat de départ qui semblait offrir d'avantage d'intérêt qu'un récit initiatique terriblement cousu de fil blanc.

Et quand on se dit que les flaques d'eau sont plus belles que le personnage principal c'est qu'il y a peut-être un problème.

Annotation :

Exploiter des franchises pour financer d'autres projets originaux pourquoi pas, mais qui voulait vraiment d'un troisième épisode de Cars ? Je veux des noms.

Annotation :

Les pandas roux, quand il y en a un ça va, mais quand il y en a plusieurs...

Il y a indéniablement une sincérité touchante dans la démarche de Dommee Shi qui va puiser dans ses souvenirs adolescents et sa culture pour alimenter son récit (ce qui ne justifie jamais et en aucun cas toute cette musique de merde).

Mais le côté Instagram friendly irritant, l'abus de plan cool bie pushy et le traitement over the top de la relation Meilin et sa mère ont en fait un visionnage difficile.

Annotation :

Vous avez déjà vu un poulpe qui conduit un camion à contre sens sur l'autoroute ? Moi oui, mais j'ai oublié pourquoi.

Et le pire, c'est que Frank est à ranger dans les points positifs, le reste transpire la paresse et le manque d'imagination.

Annotation :

Non, il ne suffit pas de confier le rôle principal à une dépanneuse pour éviter la sortie de route.

Cars 2 est assurément le mal aimé du studio, celui qu'on peut citer sans trembler quand il s'agit de démontrer en société que Pixar c'est pas toujours génial.

Mais n'oublions pas pour autant son intro top tier avec un Finn McMissile au sommet de sa forme.