Les meilleurs films de 2018 selon Aeladir

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Après un ensemble de films manquant de profondeur et d'enjeu ( hormis peut-être Black Panther), le MCU revient avec le tant attendu Avengers : Infinity War. Les films Avengers s'avèrent être la colonne vertébrale de l'univers Marvel, apportant à la fois scènes époustouflantes et surprises scénaristiques ( deux domaines où les autres films pêchent fortement).
La réussite du film doit beaucoup à la révélation d'un antagoniste surpuissant et charismatique : Thanos.
Face à lui, on retrouve la pléiade de héros, dont les interventions des multiples personnages sont plutôt bien réparties. Malgré une première demi-heure un peu paresseuse, les éléments de l'intrigue se mettent allègrement en place nous offrant enfin un scénario digne de ce nom, jusqu'à ce final complètement inattendu et ô combien jouissif.

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Un divertissement époustouflant, même s'il souffre d'un scénario parfois poussif.

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Une première partie presque parfaite où les différentes chansons apportent une émotion étonnante. Ma seule réserve porte sur l'instantanéité de l'interprétation de Shallow.
La seconde partie aborde davantage la relation de couple, l'ascension de l'une et la chute de l'autre. Plus prévisible et parasité par des longueurs inutiles, le film s'attarde sur des séquences trop caricaturales pour marquer l’alcoolisme du personnage de Bradley Cooper.

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Résumé de la deuxième saison.

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Avec son casting détonant, ses flash-backs mémorables et cette "ligne rouge", Sale temps à l'hôtel El Royale s'affirme comme l'un des films les plus singuliers de 2018.

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A travers une œuvre d'une poésie incroyable, Wes Anderson raconte l'épopée fantastique d'un jeune garçon essayant de sauver son chien.

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Après Whiplash et La La Land, Damien Chazelle quitte le milieu de la musique pour celui de l'espace. De la conquête spatiale plus précisément, car il s'agit d'un biopic sur Neil Armstrong, premier homme sur la lune.
L'ensemble est maitrisé, la photographie magnifique. Le spectateur se retrouve en immersion dans la capsule avec les astronautes, grâce à des plans très rapprochés. Les rares vues touristiques sont somptueuses, en particulier sur la Lune, avec Gosling devant cette étendue poussiéreuse.

Ceci dit, les biopics, même parfaitement maitrisés techniquement, ont du mal à me donner de fortes émotions. First Man n'échappe malheureusement pas à la règle.

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Un biopic assez éloigné de la réalité qui retrace le parcours de Barnum.

The Greatest Showman surprend d'entrée par son rythme et son énergie, sublimés par un Hugh Jackman au sommet de sa forme. Cette générosité fait sans aucun doute la force du film et rend possible certaines séquences absolument sublimes. Tout est fait pour éblouir le spectateur. Si le divertissement est réussi, je ne peux que déplorer que l'esthétique passe avant tout. Et du coup, les personnages secondaires sont peu développés et sonnent creux.

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Enchainement de scénettes qui n'ont de commun que le décor aride du Far West. On suit tour à tour un chanteur as de la gâchette, un braqueur malchanceux, un artiste itinérant, une femme dans un convoi et des voyageurs dans une étrange diligence.
Plusieurs histoires différentes impliquent forcément des disparités dans le niveau d'intérêt, la dernière étant celle que j'ai le moins apprécié. La photo est juste magnifique et on ne peut qu'être admiratif devant les paysages somptueux de certains tableaux.

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Une femme de ménage, travaillant dans un laboratoire ultra secret, découvre le projet le plus important : une créature inconnue capturée par les Américains. Elle commence à avoir des contacts avec le spécimen en lui donnant à manger ou encore en lui faisant écouter de la musique.

Esthétiquement, ce nouveau film de Guillermo del Toro est une merveille. Que ce soit les décors, les plans dans l'eau ( Mon Dieu, cette première scène !!!) ou les graphismes de la créature, tout est soigné et admirablement mis en valeur. En revanche, les personnages s'avèrent assez stéréotypés et résumés en deux ou trois traits de caractère. Seul l'antagoniste, campé par Michael Shannon, arrive à avoir de la profondeur.

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Après l'avalanche de suites qui se sont enchainées dans le MCU, il est agréable de retrouver un film d'introduction de personnage. Il s'agit ici de Black Panther, qui avait fait un petit passage dans Civil War. Le rythme global est efficace, aidé par une photo époustouflante. Malgré certaines facilités d'écriture, Marvel renoue avec un scénario digne de ce nom ( et franchement, je ne boude pas mon plaisir!!)

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Meliodas et Hawk se retrouvent projetés dans un monde inconnu, flottant dans les cieux. En même temps, un garçon ressemblant à Méliodas fuit cet endroit et atterrit dans le camp des "Seven Deadly Sins".

Exactement ce que j'attends d'un film sorti en parallèle d'une série à succès : une intrigue qui tient la route, des combats dantesques et une aventure sympathique. Dommage que l'inversion d'identité soit traitée avec tant de lourdeurs !!

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La jeune Mary découvre une fleur rarissime qui lui donne des pouvoirs magiques. Mais des sorciers veulent également utiliser la plante...

Bon film mais qui pâtit de ses similitudes avec les chefs-d’œuvre de Miyazaki.

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La suite directe des Indestructibles commence avec l'affrontement contre le Démolisseur, antagoniste faisant son apparition dans les ultimes secondes du premier film.

L'ensemble est solide et maitrisé mais manque d'humour et d'idées originales.

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Les frères Sisters sont des tueurs à la solde du Commodore. Ils sont chargés de tuer un fuyard qui a une dette envers le Commodore. Mais ils finissent par apprendre qu'ils s'agit d'un chimiste qui a une formule étonnante : il peut faire briller l'or dans les rivières.

Western qui respecte particulièrement le genre avec ses magnifiques paysages et ses fusillades à tout va. Mené par un quatuor magistral d'acteurs, je déplore néanmoins l'absence de scène vraiment marquante ainsi que le manque de développement du personnage du Commodore.

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Un huis-clos partant d'un pitch prometteur, des dialogues ciselés et Mr Fraize au casting. Une agréable surprise et première incursion personnelle dans l'univers de Dupieux.

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Les Iorph sont un peuple solitaire. Et pour cause, ils vivent bien plus longtemps que les humains. Lorsque leur royaume est mis à sac, Maquia parvient à s'enfuir et sauve un nourrisson humain. L'apprentie maman n'est pas au bout de ses surprises.

Un excellent sujet qui amène des thématiques de fond sur le temps qui passe, l'inutilité de la guerre ou la complexité des rapports humains. Certaines transitions, maladroites voire trop brusques, auraient dû être travaillées davantage. On sent que l'univers de Maquia est incroyablement riche et ne peut être retranscrit entièrement en deux heures. Du coup, certains éléments de l'intrigue sont survolés et donnent un sentiment d'inachevé.

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Après maintes désillusions lors de visionnages de films français récents, je tente encore ma chance avec ce long-métrage au casting ambitieux. L'histoire de cette famille dysfonctionnelle sonne juste. Chaque personnage vit avec ses travers et ses tords. Certains ont des regrets, d'autres des secrets. Mais ils doivent tous s'unir (malgré eux) autour de cette grand-mère qui perd la tête.
Certes, l'ensemble pâtit de longueurs, mais les prestations des acteurs aident à maintenir un rythme plutôt régulier. Le scénario évite de nombreux poncifs actuels, malgré une fin assez prévisible.
Un film touchant, comme j'aimerais en voir davantage, et qui m'a permis de me réconcilier avec le cinéma français terne de ces dernières années.

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Un documentaire doté d'une photo merveilleuse qui alterne admirablement entre le frisson des course-poursuites et des moments plus joyeux. La musique sert bien les séquences, contrairement à la voix-off, souvent dispensable.

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Deadpool est complètement perdu. Il cherche un moyen de mourir, ou par défaut, une raison de vivre. Il décide de se créer sa propre famille : la X-force.

Après le premier volet qui avait marqué par son irrévérence, l'effet de surprise peine à faire effet. Les répliques font moins mouche et le scénario s'avère cousu de fil blanc. Les chorégraphies de combat restent néanmoins irréprochables.

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Un film policier intelligent. Le spectateur est entrainé de nombreuses fois vers des fausses pistes plausibles avant un final inattendu.

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Je dois avouer que ce film a été compliqué à noter. Autant l'ensemble souffre d'un rythme incroyablement paresseux, autant la séquence finale est magnifique et la prestation de Rami Malek de grande classe.

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Cette nouvelle aventure d'Astérix pose LA question de l'univers d'Uderzo et Goscinny : "Qu'arriverait-t-il si Panoramix disparaissait ?". Le druide du village se met donc à chercher un successeur à qui il pourra transmettre le secret de la potion magique. Mais un vieil ennemi y voit une opportunité de s'emparer de la formule tant convoitée...

Une réussite tant sur le plan visuel que sur le respect général de l'univers d'Astérix (à part la scène où Panoramix fait des acrobaties dans les chênes). Cependant, l'histoire, l'antagoniste principal et surtout l'humour ne sont pas à la hauteur d'une aventure d'Astérix.

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Film d'action correct, qui aurait gagné à être plus condensé.

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Une photographie somptueuse et une réflexion sur les mutations assez intéressante. Dommage que les personnages soient globalement ratés.

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Une femme se rend dans une banque à Bibao pour faire un emprunt. Mais deux braqueurs armés décident de faire un hold-up.

J'aime bien le huis-clos instauré par la prise d'otages, qui permet de mettre l'accent sur les personnages. La première partie était prometteuse et de bonne facture mais l'ensemble accumule les incohérences au fil du récit.

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Le chef de la sécurité d'une usine enquête sur une série de meurtres de jeunes femmes dans les environs.

Une première réalisation qui souffre de la comparaison avec Memories of Murder. L'ensemble reste correct mais un bon niveau en-dessous du film de Bong Joon-ho .
La romance, en particulier, manque de profondeur.

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Le nouveau sujet d'Hosoda s'avère surprenant : l'arrivée d'un second enfant perçue par l'ainé de la famille. Ce nouveau centre d'attention bouscule les habitudes du jeune Kun. L'imaginaire du garçon va le faire voyager dans le temps.

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Performance incroyable de Gary Oldman qui mérite son Oscar ( même si le film est quelque peu racoleur vis-à-vis des institutions cinématographiques). Je connais assez mal Churchill mais j'attendais davantage de passe d'armes avec des répliques savoureuses contre ses opposants politiques. Peu de bons mots finalement, le propos se veut grave : l'Angleterre est dans les heures sombres de son histoire. Churchill doute. Faut-il continuer à se défendre à tout prix ou négocier avec Hitler ? Séquences instructives sur la personnalité de cet homme que je pensais plus brusque mais qui peinent à insuffler un rythme convenable au film.

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Un groupe d'amis joue à un jeu pour pimenter sa soirée : tous les messages, appels et notifications devront être rendus publics...

Doté d'un casting français très solide et d'un pitch prometteur, "Le Jeu" n'est pas à la hauteur scénaristiquement. Certes les acteurs sont tous excellents. Cependant, certains secrets sont assez prévisibles et semblent trop énormes pour une soirée entre amis. Seul le moment de l'appel de la fille sonne juste. Et je ne parle pas de la fin qui a du en dérouter plus d'un...