Les meilleurs films de 2019 selon Adrast

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7,5, arrondi à 8 parce que j'aurais envie de lui coller un coeur mais j'assume pas ce genre de films féministes parce que je suis un fucking white male cis hétéronormé ascendant misogyne.
En gros c'est hyper tendu tout du long, ça gueule (très) souvent, mais c'est beau et les actrices sont au poil. Un mariage arrangé [ou orangé] avec Lyna Khoudri m'irait très bien.
Bref une bonne sensation, surtout que je l'ai vu après la (jolie) purge Atlantique.

"Wan [Kenobi] toux frit, viva l'Algérie !"

EDIT : je l'ai revu et oui, il mérite bien son 7,5 ; même s'il m'a forcément moins bousculé que la première fois. Mais toujours gros big up à Lyna Khoudri qui joue avec ses tripes.

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"I'll take my love to the grave". 7,77

Finalement les multiples retours caméra appuyés pour voir les réactions de la troupe d'ados américains en pélerinage chez les ermites, comme auto-référence au cinéma teenage américain, sont le plus dérangeant car courus de toute part, comme un poncif du genre, mais le reste c'est de la qualité top moumoute ; c'est pas spécialement chiant, même si c'est parfois un peu lent, et ça redonne foi en l'Horreur.

Le genre de film que j'aimerais choper en Bluray dans quelques années à 3€ chez Noz.

Je lui aurais collé un 7 coup de coeur pour éviter le 8 "excessif", mais je ne suis pas encore au stade de la passion, à voir avec le temps, peut-être avec la version Director's Cut qui devrait arriver un jour ou l'autre. En tout cas il faut saluer la prouesse esthétique et le folklore païen qui dépayse [malgré ce qu'en disent certains "ouhlala encore du païen louloulou j'en ai marre" alors que la majorité des films d'Horreur tournent toujours autour des mêmes topos depuis des années [l'enfant possédé ; les zombards ; la famille recluse et chelou ; le tueur solitaire et sanguinaire ; la créature/bébête alpha et sans états d'âme... Et plus globalement tout ce qui se rapporte à la campagne, ce no man's land que le bipède "civilisé" ne connaît plus, et à la nuit, cet espace-temps synonyme d'inconnu et de surprise sur lequel l'adulte est invité à fermer les yeux car non-productif, lui devenant ainsi étranger, et donc anxiogène ; merci l'emploi à temps plein, merci le salariat, merci Macron et toute sa clique de droitards, rattrapés par la gauche ouvriériste réclamant à tour de bras "du travail" et encore du travail, toujours plus de travail pour les "travailleurs", ses (ex-)électeurs qui crèvent de TMS/troubles psys dans des usines/sociétés de service où on pratique le taylorisme et le lean management].

EDIT (Piaf) : bon je l'ai revu et je me suis surpris à me dire dans mon for intérieur (chuchotant à l'extérieur) "putain c'est trop bien" et à avoir quelques frissons [mais c'est pas fiable car j'en ai eu dans le dernier Star Wars alors que c'est interdit par la police du bon goût]. C'est fou comme son univers donne envie d'être vu et revu, vécu et revécu.

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On pourra lui reprocher son goût du grotesque pas très assumé sous de multiples aspects, autant dans la relation toxique père-fils que dans quelques scènes dignes de parodies, à cause de quelques FX curieux aussi [ces explosions supra-couche d'ozone chelous] mais le tout est tellement bien ficelé que ça pète la classe, que pour une fois en tant que cis fucking white male hétéronormé on s'identifie quand même un peu à cette relation où le père comme le fils [enfin surtout le père en fait] camouflent leurs sentiments "bienfaisants" par peur de passer pour des fiottes fragiles et trop sensibles pour mener à bien de grandes causes, comme la conquête spatiale. Pourtant le père a un doctorat au MIT, on parle pas de Zoubir, 54 ans, ramasseur de poubelles de père en fils, pour qui sa grande cause est de tenir son job jusqu'à la retraite et de finir le mois en bon état (physique et financier) pour toute sa famille parce que sa femme bosse pas ou pas assez pour espérer s'élever beaucoup plus haut que le seuil de pauvreté.

Mais ça reste valable dans plein d'autres familles, où l'éducation "à la (semie) dure" implique d'incarner l'autorité avant tout, pour "élever" correctement la marmaille et en faire de bons toutous aptes à vendre correctement leurs cerveaux ou leurs bras sur le marché de l'emploi.

Bref je dérive, comme Brad Pitt perdu dans sa tête et dans l'espace, malgré les multiples bilans psys qui lui disent que "tout va bien, vous êtes complètement détraqué par des années d'antipathie mais vous êtes apte à remplir votre fonction de singe de l'espace".

C'est beau comme Gravity, c'est solennel comme Moon, et ça se paie en plus le luxe d'être un peu plus introspectif que ces 2 là sans atteindre le syndrome labyrinthe/puzzle/rubik's cube chiant comme la pluie d'Interstellar.

-> Ad Astra sur mon bidet.
Merci, au revoir.

EDIT : vu 2 fois, j'ai encore envie de le revoir rien que pour le voyage. Pas besoin d'une narration en béton quand la voix off est là pour contribuer au voyage intérieur...

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Hop, arnaque aux bons sentiments mais je marche quand même. En gros, c'est Intouchables, mais à l'envers, et avec des italiens grossiers et machos qu'on croirait sortis de Mafia (le jeu). C'est pas bien fin dans la narration et la construction des personnages, ça parle pas spécialement à l'intelligence du spectateur [erreur 404, je l'ai jamais connue], mais ça parle très bien aux sentiments. Vous allez sourire benoîtement et larmicher cordialement.

EDIT : Vu 2 fois, ça vaut bien son 8, même si on joue dans la catégorie du film facile politiquement correct pour ados attardés [comprendre "film-fable"] à la La Ligne verte, Will Hunting ou Le cercle des pouet' disparoutes.

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Entre 7 et 8 mon cœur balance.

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C'est du 7,5 car on frise la chiantitude sur 20 à cause d'une longitude toute asiatique ["tu la sens bien ma poésie ???"] qui peut parfois se faire pesante. Mais bon pour éviter de passer pour un (gros) con, je lui colle un 8 ; surtout que le dernier quart s'avère moins lisse et sage [enfin de l'espiéglerie made in Asia ! [remarque raciste, je me repen(d)s, donnez-moi 30h de TIG dans une ONG]] que le reste.

PS : et puis faut bien avouer que cette attaque en règle sur les riches [cf. "je n'aime pas les riches", "mon ennemi n'a pas de nom, pas de visage, pas d'adresse, et pourtant il règne [...] c'est la finance" LOL] me fait bien plaisir aussi. Preuve que toutes les sociétés "civilisées" sont plus ou moins bâties de la même manière... [la pyramide mon pote !] Chose qui légitime davantage encore l'ordre établi dans la tête de ta petite cheffe qui te fait la morale, à toi, sale gaucho, qui vote mal, ou pas du tout, comme on a pu le voir aux dernières européennes [hein tu t'crois malin hein ? Môssieur n'est pas un mouton, du coup il bouge pas son gros cul mais préfère commenter la fin de Game of Thrones]. Cordialement.

EDIT (Piaf) : bon je l'ai revu et oui, c'est bien la classe à Dallas. J'ai moins ressenti les lenteurs poético-poétesses de fin de film et j'en retiens des phrases cultes comme "ils sont pas riches parce qu'ils sont gentils, ils sont gentils parce qu'ils sont riches", chose qui se retrouve assez régulièrement [coucou Macron qui sourit à toutes les caméras avec ses faux airs de gendre idéal] dans notre civilisation de l'hypocrisie, où au contraire de l'état naturel, pour garder son pouvoir une fois bien installé, il faut montrer tous les signes d'ouverture, de bonhommie et de bienséance pour légitimer son bon droit d'occuper le sommet de la chaîne alimentaire.
En plus de ça y'a un tacle contre les charognards d'agents immobiliers que les droitards et aspirants droitards de Twitter défendent "pasky faut bien construire queuemême" et que "c'est la liberté d'enculer de plus en plus les nouvelles générations" en augmentant sans cesse le prix de vente de biens d'usage sur lesquels tout le monde spécule [alors que c'est pas un bien de collection, sa valeur devrait stagner] mais chut faut pas l'dire, askip c'est pas un bon placement quand on a des thunes. C'est bien pour ça que tout le gotha immobilier parle de "spécial investissement" et autres termes marketing pour vendre leurs apparts clapiers à un prix de ouf ["seulement 300 000€ ! louloulouloul

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Un film qui aurait aussi pu s'appeler "Y faut payer !!! Y faut payer-hé ! (ci pour ces pôv' banquiers-hé)" ♫

Un bon film politico-économico-thrillé qui fait un peu trop dans la redite, mais qui a également pour but de montrer cette répétition persistante de dogmes idéologiques, chez les droitards costard-cravate-tailleur-gilet de la Troïka [qui comme d'hab' se disent sans idéologie - c'est la méthode Macron] ou chez les sales p'tits gauchos de Syriza. Chacun campant sa position, c'est le spectateur qui assiste, désarmé, à cette guerre de positions, à ces conflits larvés de tranchées, entre adultes responsables qui ont la langue bien léchée et contournent bien volontiers l'honnêteté pour faire leurs petits jeux de courtisans [à ce titre Michel Sapin est bien égratigné] selon leur interlocuteur. Un bon film à classer aux côtés, cette année, de Vice, qui lui aussi remonte un peu le level des films politiques, voire des films tout courts, sortant ainsi du carcan comédie-romance, sans doute le plus facile à vendre et donc le plus rémunérateur, parce que "pas prise de tête", et qu'il faut bien plaire à la majorité sans "cliver". Chose que Gavras fera forcément, à en croire mes voisins étudiants au body language suintant l'ennui, et parlant de "film engagé" en fin de séance. Beh oui les gars, c'est ça faire de la politique, c'est ça faire un film politique. La réalité est toujours déformée par la version de celui qui l'énonce, même si ici on sent clairement le parti pris du gaucho Gavras. Et au fond c'est pas pour me déplaire, moi les encravatés ça m'file de l'urticaire et surtout ça m'annonce des lendemains d'arnaque et d'enculeries sous couvert de simagrées de gentillesse et de bienséance qui ne sont en aucun cas synonymes de bienveillance. La pire race quoi, la race dominante. La race humaine ?

Un bon résumé du film par le premier concerné dans un média de dangereux gauchos détestés par la fausse gauche (Quatremer, Romedenne et cie) : https://www.monde-diplomatique.fr/2015/08/VAROUFAKIS/53506
[au moins ça changera des libéraux-libertaires qui promeuvent cette merde droitarde de Contrepoints].

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LE GRAND REMPLACEMENT, c'est NOUS.

Pour faire court : c'était bien, même si le twist de fin est capilotracté et ne tourne pas vraiment rond si on reprend tous les événements du film. M'enfin ça a au moins le mérite de chercher un poil plus long que la moyenne des films d'épouvante/horreur, pourtant encensés par la critique et/ou les spectateurs. C'est du bon cinéma "populaire" dont le contenu n'est pas plus subversif que Plus belle la vie [faut pas s'y tromper, c'est pas parce que les protagonistes sont tous noirs qu'il y a progrès ou message caché ou quoi ou qu'est-ce], mais c'est bien réalisé, assez bien rythmé, malgré un rythme assez atonal jusqu'à l'arrivée de la famille "miroir".

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Tout ce que ça m'inspire, c'est qu'il faut être sacrément con pour se croire intelligent.

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Du cinéma social comme il est bon comme il est beau : à montrer la misère des défavorisés du travail, sous emphase, jusqu'à la sublimer. Une sorte d'ode moderne au prolo mais sans le clinquant stalinien : ici on va plus chercher du côté de la laideur du monde ["bah oui c'est ça la VRAIE vie !" comme dirait tatie Gertrude ex-sarkoziziste ["ohlol il a dit zizi il est pas crédible"] nouvellement macroniste] et de la vie des "petites gens" dont tout le monde se contrefout [moi dans les premiers parce que je profite bien de leurs services de temps à autres et que j'aime le "pas cher mon frère"] quand il s'agit de profiter directement ou indirectement de leur labeur [Deliveroo et autres compagnies semi-esclavagistes pour les gros sacs de clients ["bah oui mais ça crée de l'emploi queumême..."] qui ne peuvent pas lever le cul de leur canapé, je crie ton nom].

Un bel avant-goût de ce qui pourrait arriver à la France dans 10-15 ans [contrats 0 heure, auto/micro-entrepreneuriat généralisé pour faire un boulot de salarié], le temps que les syndicats (de salariés) se dissolvent définitivement et que les corporatismes prolos hérités des nationalisations disparaissent complètement [2020, fin des embauches au statut à la SNCF, on y arrive ! Merci la Macronie !].

Ça c'est du réel, c'est du tangible, c'est un truc qui te bouffe la tête du matin au soir, c'est ce que veulent mettre tous les partis (euro-)crédibles sous le tapis, c'est le (sale) TRAVAIL, et au cinéma, c'est beau.

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7,25, avec potentialité de film culte, si vous êtes pas un gros con comme moi et que vous lisez déjà Positif.

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6,5 mention "on s'fait un peu chier la bite quand même".

Spoiler, je suis un factieux anti-riches : https://catabase.wordpress.com/2019/10/07/joker-le-plus-marrant-reste-le-spectateur/

EDIT : à la revoyure c'est un 7,5. Pas mal de petits éléments sujets à interprétation, qui laissent le doute, ne serait-ce que sur la parentalité de Thomas Wayne. Malgré tout ce qu'on peut en dire et ces gros violoncelles qui reviennent tout le temps sur ces scènes au semi-ralenti un peu lourdaudes, y'a de la petite classe à Dallas dans ce film. Alors forcément, un film qui marche aussi bien avec des recettes un peu dures à avaler, ça fait mal à son égo et ça donne envie de mettre des sales notes, surtout quand on se reconnait dans les portraits caricaturaux de richoux qui sont tout [comme dirait l'autre] et à qui tout réussit. Je résumerais ce film par :

Les sanglots longs des violoncelles de l'automne,
Glissent sur mon coeur d'une langueur monotone,
La cigale ayant chanté tout l'été,
Se trouva fort prise au dépourvu,
Lorsque la bise fut venue.

Tschuss.

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C'est la petite classe à Dallas. On sent bien l'empreinte du Wong Kar-Wai d'In the Mood for Love. C'est beau et touchant quoi. Ça donnerait presque envie de se remettre en couple mais bon, je sais bien que ça me plairait pas autant si ça m'était imposé.

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Eh oui, on peut s'y tromper, à voir la gueule de chouinard de Schoenaerts, mais en effet y'a sensiblement [et pas ostensiblement] du Bullhead là-d'dans. Et c'est pas du tout pour me déplaire.
Des héros qui alignent deux mots à la minute, ça m'plaît ; surtout quand tu sens [et que tu vois, en fait] que le crochet du droit les démange.

6,75

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7,5 mention petite chialerie

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6,75, avec réserves.

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Un poil long mais les scènes de course (qui auraient pu être plus nombreuses, avec de l'onboard ç'aurait été encore mieux) sont parmi les plus réussies que j'ai pu voir au ciné/dans mon 30 m².

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6,5 mais ça suinte le film noir comme il faut donc 7 sans trop de remords.

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7 avec quasi coup de coeur. En plus Dupieux se paye le luxe de se foutre de la gueule des Senscritiqueux qui enjolivent des hasards de mise en scène et de (non-)scénario, et prêtent donc des intentions au réalisateur dont lui-même n'a pas idée.

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6,5

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6,5. C'est un peu chiant, et clairement on perçoit bien l'économie de moyens [unité de lieu, de temps / huis-clos sa race qui fait penser à Ex Machina / FX un peu cheapos] mais comme je suis un sale fainéant [ceux qu'on passe au four dans le film [ouhlala spoiler]] de geek en voie de surpoids, j'aime bien les films avec des robots et des vaisso spatio, ça me sort de mon quotidien de prolo "raised to do one thing" [Finn référence là-bas dans les étoi-leuh] jusqu'à ce que mort [ou retraite, mais la retraite c'est déjà la petite mort en soi] s'en suive.

Annotation :

Le jeu de mots Stargatien dans le titre qui va bien : https://catabase.wordpress.com/2019/12/19/star-wars-a-zat-nique-tel-homme-qui-croyait-prendre/

Spoiler : j'ai été envoûté par le discours libéralo-réformiste Disneyen me susurrant à l'oreille : "laisse-toi enculer, c'est pour ton bien", qui donne en langue de bois, "nous nous permettons d'étendre (l'anus de) l'univers Star Wars pour produire quelque-chose de nouveau. Il faut s'attendre à quelque-chose qui plaira résolument aux fans mais créera aussi assurément le débat et la controverse parmi nos nombreux spectateurs". Ce qui veut aussi dire "on va faire n'importe-quoi avec la licence et vous n'aurez rien à redire", mais ça tu l'interprètes de cette manière parce que t'es un sale gauchiste [en fait non askip paske j'utilise le mot "enc****" qui serait homophobe [parce que le sexe anal ne se pratique qu'entre hommes c'est bien connu] selon la police qui déteste la police. "Empapaouté" c'est encore légal ou pas ?].
PS : j'irai le revoir une douzaine de fois et la note baissera probablement en conséquence.

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Une bonne surprise, qui tacle un peu trop facilement "les riches", mais qui regorge d'action et ne laisse quasiment aucune place à l'ennui, en à peine plus d'une heure et demie.

La fin est très enthousiasmante car elle opère une transition de genre [transgenre donc] autant inattendue que bienvenue.

Un film à la fois simple, propre, respectable, enjaillé, bien rythmé, avec un sous-texte taquin plus que critique vis-à-vis des institutions du mariage et de l'héritage patrimonial très appréciable. Un feeling similaire à celui de Midsommar, en plus policé et codifié. En moins inventif aussi, avec plus de déférence au cinéma romantique allah Hugh Grant ; surtout en début de film, un tantinet agaçant.

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6,75 parce que ça ronronne quand même du Drucker et du Inspecteur Barnaby sous la couche du JB agent secret franco-franceso-bouffeur-de-flageolets. C'est quand même bien à voir pour le côté "partie géante de Cluedo entre enculés de fils de bourge".

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6,5 mon gars. Film d'auteur à l'absurdité bien sentie, rempli d'humour noir, de karaté, de Metal et de fragilité (et de chiens de RACE allemande, aussi).

EDIT : ce film ne me quitte plus depuis que je l'ai vu. Je repense à plusieurs scènes, à l'actrice choupette qui a aussi joué dans Black Christmas cette année, à Eisenberg [non pas le chauve-goaty, l'autre] qui campe bien son rôle [qui commence à devenir habituel] du frêle fragile victime timide, mais aussi aux phrases d'humour noir et assez politiquement incorrectes qui font mouche et tuent les mouches.

Une bonne surprise. Je n'en attendais rien, je n'en savais rien, je suis reparti repu.

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6,5 mention "rien de nouveau sous le soleil du thriller asiatique".

Eh oui, dans le cinéma noir ching-chong, on se fait toujours chier, mais avec la tranquillité de l'intellectuel de cour de récré qui sait qu'il appartient à l'élite parce que contrairement à ses con-génères il regarde pas les Ch'tis.
Dans le cinéma ping-pong [j'ai le droit, la communauté asiat' étant la dernière communauté que l'on peut jurisprudenciairement bolosser], on colle toujours des gifles à plat-paume comme on collerait des roustes à son gosse fan de Justin Bébère. PARCE QUE c'est rigolo. D'ailleurs ça n'a pas manqué, une Mathilda [ou Jeannine si vous préférez] était (Pierre) hilare devant ces multiples dialogues et situations pas drôles, si ce n'est cocasses.