Les meilleurs films de Martin Scorsese selon Albator_Larson

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Meilleur film issu de la collaboration Scorsese / Dicaprio selon moi, le film nous donne pour les fans de jeux vidéos, un meilleur Silent Hill le film, que l'adaptation de Christophe Gans (qui est un réalisateur que j'affectionne), car là où le film de Gans a été pas mal charcuté au montage et est construit comme un jeu vidéo, empêchant le film d'exister uniquement en tant que film, mais en tant qu'objet hybride comprenant l'univers du jeu, mais pas beaucoup le cinéma.

Sinon pour revenir à Shutter Island, on retrouve le style si nerveux de Scorsese se calmer et s'affiner avec des séquences symboliques d'une rare puissance qui laisse s'exprimer Leonardo Dicaprio prouvant encore une fois qu'il est un acteur incroyablement talentueux !

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La lettre d'amour de Scorsese au cinéma hollywoodien qui a malheureusement bidé malgré une réal qui s'inspire des grandes comédies musicales comme Chantons sous la Pluie, West Side Story, etc. avec les obsessions de Scorsese avec un Robert de Niro et une Liza Minelli en état de grâce faisant en sorte de réussir à convaincre même un non fan du genre !

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Un rail de coke en intraveineuse !

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Une histoire de vengeance en plein melting pot et au début du rêve américain où on retrouve la fascination de Scorsese pour New-York dans le prolongement du Temps de l'Innoncence.

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Une paranthèse entre Les Affranchis et Casino pour Scorsese qui offre cette fois-ci une romance mélo sur les bords dans le New-York du XIXème siècle avec un traitement qui n'est pas sans rappeler Barry Lyndon de Kubrick par sa manière de filmé exprimant le côté figé de l'aristocratie américaine ainsi que sa fascination pour les tableaux de l'époque mettant en abyme les contradictions d'une époque !

Tout cela avec des interprétations des plus convaincantes de Daniel Day-Lewis et Michelle Pfeiffer.

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Après New-York, New-York qui était une lettre d'amour au cinéma hollywoodien, Hugo Cabret est tout simplement une lettre d'amour au cinéma en parlant des débuts du cinéma à la mise en scène (contrairement au Frères Lumières qui ne voyait dans le cinéma que l'aspect scientifique) par le regard d'un enfant racontrant George Méliés à l'instar de Scorsese qui a ses débuts, a regardé avec curiosité ses films !

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Le film frôle avec le 8 en s'arrêtant au moment où Howard Hughes bascule justement dans la psychose si cher à Scorsese, dommage.

Sinon, il n'y a pas grand chose à dire, Di Caprio joue fantastiquement bien, Howard Shore fournit encore une fois, une super B.O, Scorsese fait le boulot étant toujours l'un des meilleurs réalisateurs de l'époque quoiqu'au final assez gentil dans sa construction suivant les rouages du biopic ...

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Un film qui n'est pas sans rappeler Taxi Driver avec un Nicolas Cage au meilleur de sa forme, un Paul Schrader à l'écriture retravaillant ses thèmes de la culpabilité et de la rédemption soutenu par une réal de Scorsese toujours aussi inspiré même si le film est beaucoup plus épuisant que Taxi Driver par un rythme pas toujours des plus soutenus et une subtilité dans les différents personnages qui l'éloigne de son glorieux prédécesseur d'autant plus que l'ambiance rock à la R.E.M ne plaira pas à tout le monde (en tout cas, je préfère le jazz mélancolique de Bernard Herrman,).

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Une interprétation de l'histoire du Christ intéressante avec les obsessions de Scorsese et l'exploitation de la psychose du Christ qui a porté à scandale, alors que Scorsese lui-même voulait devenir prêtre ...

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Les prémices de Mean Streets.

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Un film de commande où Scorsese met en valeur Paul Newman de la meilleur des manières pour qu'il ait son oscar avec un début survolté et magnifiquement structuré laisse placent à des parties de billard mise en scènes de manière intéressante, mais delaissant le développement des personnages ...