Les films les plus vus à l'école selon Sumo06

Annotation :

L'humain se doit de réfléchir et d'agir...Plus jamais ça !
Alain Resnais a réalisé un film bouleversant, construit à l'aide de documents d'archives, un requiem sur l'horreur des camps nazis, qui témoigne des atrocités des camps et retrace le lent calvaire des déportés. Une réalisation juste en tout, un chef-d'oeuvre froid, âpre et poignant mais indispensable au devoir de mémoire ! Un film qui marque et restera dans les mémoires. Le film à voir et revoir dans les écoles. Avec une note de plus jamais ça !

Annotation :

Merveilleux film, je vous délivre quelques-unes des citations tirées du film
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Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie.

C’est dans ses rêves que l’homme trouve la liberté, cela fut, est, et restera la vérité.
Le cercle des poètes disparus, John Keating.

Et ne pas, quand viendra la vieillesse, découvrir que je n’avais pas vécu.
Le cercle des poètes disparus, John Keating

Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde.
Le cercle des poètes disparus, John Keating.

Carpe diem !

On ne lit pas et on n’écrit pas de la poésie parce que ça fait joli. Nous lisons et nous écrivons de la poésie parce que nous faisons partie de la race humaine ; et que cette même race foisonne de passions. La médecine, la loi, le commerce et l’industrie sont de nobles occupations, et nécessaires pour la survie de l’humanité. Mais la poésie, la beauté et la dépassement de soi, l’amour : c’est tout ce pour quoi nous vivons. Écoutez ce que dit Whitman : « Ô moi ! Ô vie !… Ces questions qui me hantent, ces cortèges sans fin d’incrédules, ces villes peuplées de fous. Quoi de bon parmi tout cela ? Ô moi ! Ô vie ! ». Réponse : que tu es ici, que la vie existe, et l’identité. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime… Quelle sera votre rime ?
Le cercle des poètes disparus

Je ne vis pas pour être un esclave mais le souverain de mon existence.
Le cercle des poètes disparus.

Oh capitaine, mon capitaine !
Le cercle des poètes disparus.

Annotation :

Bien qu'il soit extrêmement difficile de reconstituer tous les états d'âme des personnages de l'époque, nous ne pouvons que nous imaginer les faits terribles et événements de l'époque. Tous ces pauvres gens miséreux à cette époque, face à l'opulence de toute la noblesse qui régnait en absolu, et la religion qui aussi contraignait, la révolution devait être un jour inévitable. Ce qui fut fait.
J'ai adoré le ressenti historique du film, habilement reporté. N'oubliez jamais, que nul n'est parfait en tout.

Annotation :

Mon avis---

Ce film est un monument du cinéma mondial, notre très cher Stephen Spielberg démontre encore ici qu'il est un génie. Ce film montre l'aspect le plus pourri des nazis et d'un autre un rayon d'humanité au travers d'Oskar Schindler. Ce film montre bien des moments atroces et brutaux de cette époque noire obscure, mais nous laisse quand même quelques beaux moments d'espoir, heureusement. Quand je vois et pense à toutes ces personnes qui ont tant et tant souffert, j'en ai mal au coeur. Je pense à eux et penserai toujours à eux.
Les acteurs de ce film sont merveilleux et jouent tous leurs rôles avec magnificence. Ma note pour ce merveilleux film est de : 10/10.

A propos de---

La Liste de Schindler (Schindler's List) est un drame historique américain réalisé par Steven Spielberg, sorti en 1993.
Il est inspiré du roman homonyme (1982) de Thomas Keneally sur Oskar Schindler, qui réussit à sauver environ 1 100 Juifs promis à la mort dans le camp de concentration de Płaszów, sans pour autant occulter les travers du personnage un peu ambigu et cherchant à tirer un profit matériel de la situation.
En 2004, il est sélectionné par la bibliothèque du Congrès pour son « importance culturelle, historique ou esthétique » et est classé au National Film Registry.
Résumé---
Évocation des années de guerre d'Oskar Schindler, fils d'industriel d'origine autrichienne rentré à Cracovie en 1939 avec les troupes allemandes. Il va, tout au long de la guerre, protéger des juifs en les faisant travailler dans sa fabrique et en 1944 sauver huit cents hommes et trois cents femmes du camp d'extermination de Auschwitz-Birkenau.

Annotation :

Un film superbe en tout point de Louis Malle, vient nous rappeler à tous et aux mémoires défaillantes ce que fut, cette époque noire de l'histoire, ou le racisme, et la xénophobie faisait rage et que de tels événements pourrait être à nouveau arrivé un jour si le monde ne fait pas garde et oublie son passé. Ce film est un message rempli d'émotions qui doit nous rappeler que c'est encore un traumatisme qui vit et que l'on le sent et ressent, tant et tant d'années après…

Annotation :

Mon avis---

Ce film-ci me fait toujours autant rêver que le premier jour, je l'ai vu, je ne sais combien de fois et sa suite aussi (Le château de ma mère).Il me fait revivre beaucoup de moments merveilleux de mon enfance, et en plus l'interprétation est magistrale et d'un naturel incroyable. Cette histoire empreinte de joie et pleine liberté m'a envahi le coeur et c'est pour tout cela que je l'adore et le classe en première position. Une dernière chose, j'adore Marcel Pagnol et ces histoires enchanteresses. Alors le narrateur Jean-Pierre Darras est fantastique et sa voix est merveilleuse et imprègne d'un plus... cette belle histoire.

A propos de ---

La Gloire de mon père est un film français d’Yves Robert sorti en 1990, sur un scénario de Louis Nucera et Jérôme Tonnerre; d’après le roman éponyme du cycle des Souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol paru en 1957.
Philippe Caubère et Nathalie Roussel incarnent les parents de Marcel Pagnol (Julien Ciamaca) et Paul (Victorien Delamare). L'oncle Jules et la tante Rose sont interprétés par Didier Pain et Thérèse Liotard. Des passages du texte du roman original sont narrés par Jean-Pierre Darras.
La Gloire de mon père, nominé 4 fois aux Césars, est suivi par Le Château de ma mère sorti au cinéma la même année.

Annotation :

Que dire sur ce film.?.. qu'il est tout simplement merveilleux, Roberto Benigni a su faire éclater tous les sentiments qu'il a ressentis en écrivant le scénario conjointement avec Vincenzo Cerami, et comme Roberto a réalisé ce film merveilleux de mains de maître en ressentant tous les sentiments, mêmes certaines scènes où plane l'humour et font sourire, il a su imprégner notre coeur d'un voile de tendresse, malgré la gravité du sujet, il a donc étalé tout son talent de réalisateur, de scénariste et d'acteur, il a su donner une âme au film, qui est à la fois dur et sensible, on ressent bien toutes émotions que ressentent les personnages et cela rend encore plus de force au film, je l'ai trouvé merveilleux en tout point, je le conseille vivement à toutes celles et ceux qui ne l'ont pas encore vu, un chef-d'oeuvre. Un film qui est aussi fait pour contrer l'oubli de cette époque noire de notre histoire.

Annotation :

Il y a eu le magistral "La liste de Schindler de S. Spielberg-1993" qui a dérouté plus d'une personne pour toutes ces qualités tant réalisation époustouflante et interprétation magistrale de Liam Nisson et de tous les figurants mettant tout simplement la vérité dans leurs rôles respectifs et le côté humain dans un enfer inhumain. Puis voilà le grandiose" Le Pianiste, de Roman Polanski-2002" Qui vient aussi bouleversé les âmes de par les mêmes qualités comme la réalisation impressionnante et l'interprétation d'Adrien Brody remarquable et incroyable de vérité.
Ce film est aussi en mémoire de tous les martyres de cette deuxième guerre mondiale.
Ce film est aussi tiré d'une histoire vraie, il est adapté du roman autobiographique éponyme de Władysław Szpilman. Un film merveilleux en tout point, de l'émotion incroyable un film prenant aux tripes.

Annotation :

Quand j'ai visionné ce film, au début je me demandais où cela allait nous mener. Eh bien cette histoire est de toute façon inspirée de faits réels (cela c'est passé dans les années 1960 aux États-Unis d'Amérique où un professeur à faire cette expérience traitant sur le fascisme), c'est déjà un point. Rainer Wenger professeur allemand va faire un cours sur ce qu'est l'autocratie (Système politique dans lequel le pouvoir est détenu par un seul homme, qui l'exerce en maître absolu.) Mais cette définition ne sera pas de suite prise en compte et tout débutera par une distinction des élèves de ce cours, d'abord prendre conscience de la hiérarchie en abordant le maître des lieux par la politesse et se lever après demande, puis au début pour supprimer toutes formes distinctives de classe, tous devront s'habiller pareillement, soit : chemise blanche et jeans, et tous acceptent sauf une jeune fille dont les parents sont plus que cool, il n'y a qu'à entendre son jeune frère de façon vulgaire parler et fumer a 12 ans pour se dire que les parents se foutent de l'autorité, il fallait bien une rebelle pour le film. Puis les jours passent et les élèves commencent à intégrer complètement le contexte de l'autorité suprême et vont aussi créer un symbole et un nom, le nom sera la vague et le symbole une vague déferlante, plus tard il faut trouver un signe de ralliement, ce sera donc un mouvement coulé comme une vague au milieu du ventre en partant de la droite avec son bras. Il est vrai aussi que parmi ces jeunes il y en a des marginaux et déjà cela gêne un certain public et critiques, tout comme leurs exactions vis-à-vis d'autres qui ne portent pas leurs chemises blanches ou ne font pas le signe de ralliement. Voilà la pièce est un peu dépouillée et l'on voit que pour finir en une semaine ces jeunes sont entrés dans un régime autoritaire et qu'ils sont maintenant prêts à tout (pour certain) ce film démontre malgré des critiques sur tout, qu'une démocratie peut très bien un jour finir par se faire influencer par une autocratie. Cela n'est pas tellement de la fiction mais bien une réflexion pertinente sur l'influence que peuvent avoir certaines personnes sur d'autres et qui plus est, si ces personnes-là se trouvent dans la zone d'aide, tant morale que financière, alors tout peut arriver. Regardez EI (État islamiste) tous les jours ils ont de nouvelles recrues et de tous les pays du monde, et malgré toutes les atrocités qu'ils font, alors venir dire qu'un mouvement autocratique