Les meilleurs jeux de rôle japonais (JRPG) selon Sajuuk

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On me demande souvent pourquoi j’ai mis tant de volonté à vouloir m'expatrier en Asie et même si il y a de multiples raisons sûrement bien plus terre-à-terre, je pense que cela vient aussi d’une part de mon subconscient et ce Final Fantasy X y tient une place toute particulière.

Cela fait très Otaku de dire cela mais ne m’en voulez pas, il y a trop d'émotions qui me traverse à l'évocation de ce jeu qui symbolise l’amour que j’ai dans de nombreuses choses ici.

Fait uniquement à l'époque sur PS2 j’ai toujours eu une forte envie de le refaire, mais aussi une grande appréhension à le relancer sur les consoles actuelles de peur de détruire le mythe qui s’est créé dans mon moi adolescent, sacré dilemme.

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Contrairement à Dark Souls ou Bloodborne je pense qu'il y a matière à discuter autour de classification en JRPG d'Elden Ring, personnellement je dirai que oui.
Il n'est pas le From Software parfait auquel certains s'attendaient mais il n'en est pas moins le plus abouti. Comme ces ainés il y aura toujours des points à discuter mais jusqu'à aujourd'hui From Software nous avaient habitué à si grandiose que nous surprendre encore aurait été un exercice périlleux que beaucoup n'auraient pas tenté. Malgré cela Elden Ring est bel et bien l'aboutissement d'une formule longuement élaboré durant ces dix dernières années, le tout construit d'un monde immense et riche démultipliant les possibilités d'échecs mais que From Software à soigneusement évité nous livrant une œuvre qui définit ce que devrait être un vrai monde ouvert, proposant un vraie liberté.
Elden Ring a dépassé allègrement les espérances, artistiquement, techniquement (un saut de géant depuis Bloodborne), sa diversité, la cohérence de son univers mais aussi son histoire laissant encore plus d'indices en chemin, celle-ci comme à l'accoutumée donne envie d'explorer les moindres recoins à la recherche du détail à partager avec la communauté.
Il est maintenant temps pour From Software de clore le chapitre Dark Fantasy et des Souls pour répartir à la manière d'un Sekiro vers un univers et des mécaniques de jeu différentes.
Avec Elden Ring le paroxysme du genre a été atteint et les joueurs ont répondu positivement, gage From Software sera s'appuyer sur cela pour nous surprendre encore.

Je juge qu'Elden Ring est assez différent de la série des Dark Souls, ne serait ce que par ses ambitions démesurées, pour figurer dans ce top.

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Ma critique : https://www.senscritique.com/jeuvideo/mother_3/critique/230537188

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Or-Argent

Parceque des années de vie à suer sur ma Gameboy et sourire avec mes amis, que des souvenirs mémorables.

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Ma critique : https://www.senscritique.com/jeuvideo/persona_5_royal/critique/219800409

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À refaire en 2024.

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Rouge-Bleu

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Cela fait quelques années que je n’ai pu toucher au jeu, mais les centaines d’heures passées dessus au cours des 22 années qui nous séparent de sa sortie n’ont pas altéré mes souvenirs.
Phantasy Star Online 1&2 reste une pépite méconnue sortie sur Dreamcast au départ et qui a évolué vers cette compilation sortie par la suite sur Gamecube et Xbox, regroupant tout le contenu existant et en polissant l’ensemble du moteur graphique.

Pionnier du jeu Online, un peu trop en avance, cette œuvre possède encore un intérêt certain en solo, mais plus particulièrement en coop local en famille ou avec un ami, ur Gamecube uniquement. En effet, la version Xbox est quant à elle injouable car liée au Xbox Live, qui n’existe plus…J’avais contacté SEGA il y a quelques années, mais il n'y avait pas de solution hormis trouver une personne possédant une sauvegarde de son profil en ligne et la copiée sur sa propre Xbox.

Dans une vibe très MMO/Diablo on parcourt de multiples vastes niveaux sans chargements avec une difficulté croissante et avec de très nombreux boss.

Le jeu peut vous occuper des dizaines d’heures sans soucis et la richesse des builds possibles est sans fin, CàC, Sniper, Machine Gun etc. Tout comme le bestiaire et les environnements dans cette version “ultime” sur Gamecube donnent tout le loisir de prendre du plaisir assez longuement sans se lasser.

Pour aller plus loin, mais en anglais malheureusement je conseille cette vidéo sur l’historique de la série : https://www.youtube.com/watch?v=AZrpQfd2Ajs

PS : fonctionne parfaitement sur PC avec Dolphin ;)

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Ma critique : https://www.senscritique.com/jeuvideo/final_fantasy_xii_the_zodiac_age/critique/200759278

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Version 3DS exclue Japon.

Ma critique : https://www.senscritique.com/jeuvideo/dragon_quest_xi_echoes_of_an_elusive_age/26522955

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Trois décennies… C'est ce qu’il m’aura fallu pour enfin me décider à poser mes mains sur cette sixième itération de Final Fantasy. Les conditions parfaites étaient enfin réunies. Version Pixel Remaster et Steam Deck chargé, il ne restait plus qu’à me caler au fond du lit.
Quel trip rétro marquant à plus d’un titre, j’ai réellement eu la sensation de goûter à un morceau de l’histoire du JV, c’est gratifiant. Avec la remise en contexte qui s'impose, il y a quelques points qui m'empêchent d'élever ce sixième épisode au rang du meilleur FF ou JRPG quand seulement quelques mois après débarque Chrono Trigger…
Pour expédier d’abord les choses qui fâchent. La première moitié du jeu est beaucoup trop facile et cela altère légèrement la motivation à ratisser les lieux. Néanmoins une fois le twist du milieu d’aventure là, une coutume chez les JRPG, le jeu devient plus exigeant, en particulier sur la toute fin qui demande de pousser une grande partie de son équipe à fond. C'est à ce moment que tout le gameplay se révèle.
L’autre point un poil décevant n’est autre que l'antagoniste. Peu présent, son développement reste assez sommaire. C'est d’autant plus déconcertant quand on arrive à la fin et que l’on voit ce boss majestueux, qui m’a fait baver devant mon écran, mais qui manque d’impact car peu croisé au cours de l'histoire.
Le reste du casting est cependant marquant à plus d’un titre, chaque personnage est reconnaissable entre mille et avec un système de combat plutôt unique.
Ce qu’on retient surtout de FFVI, c’est la profondeur de l’univers et l’implication dans tous les évènements qui en découlent. Ces petits points sur un écran peuvent exprimer tellement de choses, et l’OST de Nobuo Uematsu se charge de délivrer toute l’émotion que les dialogues écrits ne peuvent transmettre sans la voix.
Cette version Pixel Remaster n’est qu’un affinage de la version d'origine mais c’est exactement ce que je recherchais, une œuvre intacte, sublimée et jouable sur des appareils modernes avec quelques options d’accessibilité pour rendre les rares moments de farm plus courts.
Pris dans sa globalité FFVI est sans conteste une pierre angulaire du JRPG, l’épisode qui marque une étape qui propulsera Square vers un momentum de plusieurs années découlant sur Live A Live, Chrono Trigger et FFVII…
D’un point de vue personnel, FFVI marque le début d'une longue séance de rattrapage qui va s’étaler sur quelques mois pour combler les trous que j’ai jusqu'à FFX.

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Ma critique : https://www.senscritique.com/jeuvideo/secret_of_mana/critique/200758053

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Ma critique : https://www.senscritique.com/jeuvideo/final_fantasy_vii_remake/critique/271712530

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On peut discuter calmement mais je suis scincèrement désolé je ne trouve rien à sauver dans ce jeu.

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Une purge.