[...] En gros, Goes To Hell reprend la formule School's Out dans son côté comédie musicale exacerbé qui s'impose au détriment du (hard) rock. Sauf qu'il va plus loin encore tant l'on sent que Furnier profite pleinement de son indépendance pour expérimenter jusqu'à partir carrément dans du nawak trippant par moments. Sans qu'il n'oublie pour autant qui il est, histoire d'éviter de trop perdre son monde. Parce que perdre la partie la plus rockeuse du public est une chose, il serait con de perdre l'autre qui attend de la théâtralité un brin nanardesque. Et pour ces derniers, nul doute que Goes To Hell va leur en donner une sacré dose tant cet album s'avère varié – sans perdre forcément de sa cohérence – et novateur pour son temps. A découvrir et/ou redécouvrir !
La critique entière figure sur Core And Co, n'hésitez pas à aller y faire un tour !
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Chroniqués sur Core And Co
Créée
le 30 juin 2019
Critique lue 167 fois
D'autres avis sur Alice Cooper Goes to Hell
Second album solo d'Alice Cooper "Goes to hell" est, à mon humble avis, la suite de "Welcome to my nightmare" d'où Alice reprend le personnage de Steven. Cet album est une "bedtime story" termes que...
Par
le 26 janv. 2020
4 j'aime
[...] En gros, Goes To Hell reprend la formule School's Out dans son côté comédie musicale exacerbé qui s'impose au détriment du (hard) rock. Sauf qu'il va plus loin encore tant l'on sent que Furnier...
Par
le 30 juin 2019
C'est quoi ce côté disco qui apparaît sur quelques chansons ?? Comme pour quasi toute sa discographie jusque là, il y a une ou deux petites perles ici et là, cachées entre autres pistes correctes...
Par
le 8 janv. 2016
Du même critique
[...] Et tu vois, lecteur, même si parler de ça me tenait à cœur, tu ne peux pas savoir, là, devant mon traitement de texte, comment je me retrouve très conne. J’ai tellement envie d’en parler que je...
Par
le 3 août 2012
16 j'aime
7
Présenté aux Utopiales comme une rareté, Knightriders fleure bon le moment privilégié où la chaleur n’a d’égal que le goût assurément bon des spectateurs présents. Et quel moment mes aïeux ...
Par
le 25 nov. 2012
9 j'aime
Aux termes de soixante-dix à quatre vingts heures de jeu, difficile de ne pas sortir de cette aventure indemne. Fruit de plusieurs années de travail intensif, Final Fantasy VII Remake est le résultat...
Par
le 23 avr. 2020
7 j'aime
