"Épisodiquement, l’album oscille même dangereusement avec le grotesque, notamment au gré du raw des arrangements rythmiques flirtant avec la même dégueulasserie dans laquelle patauge Phyllomedusa. Son équilibre, il le retrouve pourtant toujours grâce à son worldbuilding discret mais sans faille. C’est même à ça qu’on peut (pardon, que JE peux, attendu que je peux difficilement deviner combien de mes futurs lecteurs pensent de même…) déceler le génie d’un album : de par sa capacité à immerger pleinement dans l’univers qu’il crée."
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