Critique numéro par numéro. J'ai critique les numéros #1 à #7 et après on passe directement à la critique des numéros #38 et plus. Et à noter que je n'ai pas lu les numéros #12 à #31



Batman Rebirth #1 [Juin]



Y a de bonnes choses, la réinvention du Calendar Man est bourrée d'idées intéressantes, mais à part ça le numéro est un peu plat. Ça se présente comme un one-shot sur la vie de Batman, mais j'ai trouvé que ça se terminait un peu en queue de poisson.


Y a une réflexion sur la notion de cycle et de retour à la case départ, au statut quo, qui est intéressante dans le cadre de Batman, mais à part ça, on reste sur notre faim. Je ne sais pas si ce numéro pose les bases d'une intrigue future où si c'est vraiment une intrigue one-shot, mais en l'état ça ne donne pas super envie de lire la suite. Heureusement que je sais que Tom King est capable de grandes choses (sa série Vision chez Marvel est excellente).


Aux dessins, il faut aimer le style de Mikel Janin, ce qui n'est pas franchement mon cas, surtout vu la gueule de con qu'il donne à Bruce Wayne et vu comment il dessine un arbre super moche à l'avant-dernière page. [6]



Batman #1 [Juin]



Jordie Bellaire à la colo permet de calmer Finch dans ses excès de flamboyance. Le dessinateur fait le job en évitant pas mal de ses maladresses habituelles.


King écrit bien, c'est agréable à lire, mais ça ne surprend jamais. C'est intéressant de voir Batman essayer de stopper le crash d'un avion à la force de ses petits bras, mais on connaît l'issue et le suspense est artificiel pour tout le monde. J'aime bien le fait qu'après Snyder qui faisait un Batman faillible (et c'était très sympa), King revienne vraiment sur un homme chauve-souris over-the-top, très mâle alpha et qui sait tout fait comme un pro, à l'image de celui de Morrison par exemple.


En revanche, ça manque du génie qu'avait pu avoir King dès le début sur Vision, d'un parti-pris aussi fort. Là, il se la joue un peu trop mainstream et ne rend pas honneur au talent qu'on lui connaît. Son Gordon est par contre rigolo, très humain.


J'attends de voir ce que la suite de l'arc va donner. [7]



Batman #2 [Juillet]



J'ai l'impression que David Finch et Jordie Bellaire ne sont pas à leur max sur ce numéro. Ça peut se comprendre, les délais doivent être courts pour Finch et Bellaire, quant à elle, est très demandée et n'a jamais été super à l'aise sur les styles les plus réalistes. Mais globalement ça reste quand même solide graphiquement.


Côté scénar', King déroule tranquillement son truc, mais rien d'incroyable pour le moment. Les dialogues restent cependant très soignés, notamment au niveau de l'humour à froid d'Alfred. [7]



Batman #3 [Juillet]



On apprend une partie de l'origin-story de Gotham et Gotham Girl. Malheureusement, Finch foire le flash-back en dessinant le costume actuel de Batman dans une séquence censé se dérouler au moins 10 ans plus tôt (ou durant les 5 ans magiques du début des New52). Jordie Bellaire essaye de rattraper ça comme elle peu en colorisant le costume différemment, mais ça ne marche qu'à moitié. Heureusement que la séquence est bien pensée par Tom King au niveau du scénario, qui a d'ailleurs pas mal d'idées sympas mais qui à oublier encore une fois de sortir des scènes fortes.


A part ça, le numéro est sympa, mais on continue d'attendre que King sorte le grand jeu et ça ne vient toujours pas. Peut-être que la présence de Finch n'aide pas. [7]



Batman #4 [Août]



On retrouve vraiment le style de Tom King dans certains passages, la première page notamment qui évoque vraiment le genre de chose que fait le scénariste dans Vision. Le scénariste avance son histoire, mais à malheureusement toujours du mal à la faire décoller. On nous propose encore une fois la même recette que dans toute histoire où un nouveau Superman mystérieux arrive en ville... Il est d'ailleurs étonnant qu'un type comme Batman n'ait pas été plus vigilant, c'est limite out-of-character.


Et on a un petit lien avec la Suicide Squad qui semble arriver pile au bon moment pour rappeler la sortie du film. Alors est-ce que King a dû trouver une intrigue liée à la Suicide Squad, ce qui expliquerait qu'il n'ait pas sorti son grand jeu depuis le début de la série ? Où est-ce un lien rajouté à posteriori, je ne sais pas. Toujours est-il que la série est agréable à lire mais on aimerait bien qu'elle soit meilleure. [7]



Batman #5 [Août]



Tom King continue d'écrire son Batman très particulier. Il aligne toujours autant de moment qui sont à la lisière entre le badass et le ridicule, ce qui donne une atmosphère très particulière à son Batman, surtout qu'il peut d'une page à une autre passer d'une ambiance quasi légère et à des moments beaucoup plus sombre. En plus, il a quelques retournements de situation surprenants sous son chapeau. La conclusion notamment, est plutôt étonnante, avec un narratif venu du futur qui nous annonce des choses improbables, mais qui risquent de réaliser, puisque ce n'est pas sans rappeler ce qu'à fait le scénariste sur Vision, où là aussi il avait annoncé dès le début des éléments de la fin de son histoire.


Bref un Batman hyper surprenant, pas forcément extraordinaire en qualité, mais j'ai envie de savoir où King va nous amener, surtout que je trouve son écriture et son humour toujours agréables à lire. Et j'ai l'impression que le run va gagner en puissance par la suite.


On sent par contre que Bellaire et Finch fatiguent et ne sortent pas forcément leurs meilleures pages (surtout Bellaire).


Ce run à une approche très particulière du héros, une écriture singulière, qui me fascinent vraiment et j'ai toujours envie de lire la suite malgré les défauts. [8]



Batman #6 [Septembre]



Numéro centré sur Gotham Girl et la période de deuil qu'elle traverse. J'aime toujours autant lire le Batman de King. Il n'est pas parfait, mais il y a toujours un ou deux dialogues super justes (comme ce dialogue entre Alfred et Bruce sur le deuil de ses parents) et puis il y a cette bizarrerie qui me fascine, qui me rappelle un peu la période Morrison. Le fait que King ramène tous les ennemis les plus minables de Batman (dont Kite-Man, le criminel dont la seule capacité spéciale est de faire du deltaplane) amène une loufoquerie assez déstabilisante par rapport à l'image classique qu'on a de Batman et la façon qu'a eu Snyder d'écrire la série ces dernières années, mais c'est très amusant.


Notons que ce numéro est dessiné par Ivan Reis et colorisé par Marcelo Maiolo, et le duo fait vraiment des merveilles. Reis s'amuse sur ses découpages, fait des personnages très expressifs (sauf pour Duke qu'il rate bien comme il faut) et sait être impressionnant quand il faut.


Bref, bon petit numéro comme d'habitude et j'ai très hâte de voir le prochain arc (un peu moins emballé par l'idée du crossover juste avant, mais bon...). [7]



Batman #7 [Septembre]



Début du crossover entre les 3 séries Batman, Nightwing et Detective Comics avec l'arc « Night of the Monster Men ». L'intérêt de cet arc, autre que celui de la pause pour les artistes et scénaristes habituels des séries, c'est qu'il permet de lier vraiment les séries du Batverse entre elles. En effet, tout au long du numéro sont pris en compte les évolutions du statut-quo actuel, que ce soit l'arrivée de Gotham Girl, la présence de Duke dans la Batcave, la formation de l'équipe de Bat-Men ou encore ce qui est arrivé dans Detective Comics #940. C'est pris en compte et ça a une influence, notamment sur le comportement de Batman, ce qui est très agréable.


En plus l'arc n'arrive pas de nulle part puisqu'il repose bien entendu sur les pistes laissées par Tom King au cours de son premier arc avec les agissements de Hugo Strange.


Mais ici ce n'est pas Tom King qui scripte le numéro. Il a participé au plot, comme indiqué dans les crédits, mais l'écriture, des dialogues notamment, est assurée par Steve Orlando qui semble être une des stars montantes de DC avec son run acclamé sur Midnighter et son run à venir sur Justice League of America. L'écriture d'Orlando donne tout de suite une atmosphère différente de cet arc, bien plus sage que le ton semi-dément des numéros de King.


Le numéro est très classique. Y a pas vraiment de grosses surprises ni de moments véritablement forts, ça va vraiment en ligne droite. Ce qui sauve le numéro, c'est le fait de bien mettre en avant la continuité et l'univers partagé - comme souligné avant, et ça sera peut-être un défaut pour tous ceux qui n'ont pas lu toutes les séries (et on peut les comprendre, je trouve la série Nightwing pas terrible perso) – et il y a également une très bonne caractérisation des persos ainsi qu'une partie graphique de haute volée de la part de Riley Rossmo, bien colorisé par Plascencia. En outre, il faut avouer que c'est sympathique de voir Batman se bastonner avec des gros monstres. C'est un élément qui, quelque part, est dans la lignée des aventures assez over-the-top que King a fait vivre à Batman dans le premier arc de la série.


Bref, le début de cet arc est honnête, mais j'espère être d'avantage surpris par la suite. [7]



Batman #38 [Janvier 2018]



Tom King fait du Tom King. Il y a pleins de gimmicks d'écriture et de concepts intéressants, mais il n'est pas son meilleur dans ce numéro, contrairement aux derniers numéros de 2017 qui étaient flamboyants.


C'est un épisode plus orienté enquête, ce qui est un changement agréable (même si j'aimais bien les autres styles d'histoires proposés auparavant). Mais la chute de cette histoire est un peu bizarre, ça marcherait sûrement mieux en premier numéro d'arc plutôt qu'en épisode one-shot entre deux autres arcs. Mais le nouveau personnage miroir de Bruce Wayne (encore un !) est sympathique. Et globalement c'est agréable à lire (et les dessins sont efficaces). [7]



Batman #39 [Janvier 2018]



Les dessins de Joelle Jones sont superbes, en particulier sa Wonder Woman et sa Catwoman. La colo de Jordie Bellaire n'est pas en reste, en particulier sur la scène du bat-signal qui est superbe.


C'est très agréable à lire, avec comme toujours chez King de très bonnes idées qui viennent d'un peu partout (même si en fait c'est exactement la même histoire que Action Comics #761, mais adaptée à Batman, comme l'a révélé Tom King, qui n'avait malheureusement pas lu ce numéro d'Action Comics avant et a eu la malchance d'avoir à peu près même idée (on notera que les éditeurs n'ont plus n'avaient pas du lire le numéro en question vu qu'ils n'ont pas réagi)).


Ce qui est sympathique, c'est que Tom King est plus léger sur les gimmicks d'écriture que d'habitude ici, donc on peut surtout se focaliser sur son talent pour la caractérisation et les moments intimistes. Et le nouveau personnage introduit ici est un super concept.


Le cliffhanger est intriguant, curieux de voir comment King va rebondir là dessus. [8]



Batman #40 [Février 2018]



Tom King arrive à conclure son court arc de très bonne manière, avec pas mal de bons moments. La lecture est très plaisante et les dessins de Joelle Jones toujours aussi impeccables. [8]



Batman #41 [Février 2018]



En attendant le mariage de son héros, Tom King continue les arcs courts, et nous voilà donc avec un arc où Batman devra affronté Poison Ivy. A priori, rien de nouveau, mais bien entendu, vu que c'est du Tom King, il a un angle d'attaque bien trouvé, surprenant et ambitieux, qui va proposer un sacré défi au Dark Knight.


Et bien entendu, c'est raconté avec cette narration typique de l'auteur sur la série, avec cet enchaînement de séquences osés et inattendues, le tout sur une rythmique assez lente et décompressé. C'est plutôt efficace, mais il faut voir où ça va nous mener, surtout sur un arc plutôt court.


Aux dessins, on retrouve Mikel Janin. Il a la bonne idée de proposer une robe plutôt élégante pour Ivy, qui rend très bien. Mais à côté de ça, j'ai toujours un peu de mal avec son style que je trouve un peu trop froid et rigide, manquant de naturel dans les postures et de charme dans le trait. Et c'est associé aux couleurs de June Chung, qui sont efficaces mais qui ne sont clairement pas ce qui se fait de mieux dans le domaine. [7]



Batman #42 [Mars 2018]



Batman et Catwoman doivent faire face à Poison Ivy qui contrôle le monde entier, dont Superman, qu'elle utilise comme une sorte de vigile/caméra de sécurité pour surveiller les agissements de nos héros. Comme toujours, Tom King prend à revers le lecteur dans sa narration, n'hésite pas à montrer des séquences quasiment absurdes mais en même temps géniaux comme ces passages au Bat Burger.


Globalement, le numéro se lit bien, même si c'est clairement pas ce que King a fait de mieux sur la série. Il faut dire que je ne suis toujours pas fan du travail de Janin, ce qui ne doit pas aider non plus. Et si il y a bien quelques twists surprenants dans le numéro, je trouve que ça peine quand même un peu à relancer réellement l'intérêt de l'intrigue.


Y a des bonnes idées, mais ça manque peut-être de rythme et de vraies scènes fortes (même si y a des passages sympas). [6]



Batman #43 [Mars 2018]



Conclusion de l'arc de Batman et Catwoman face à Poison Ivy. Bon, comme dit pour les précédents numéros de cette histoire, ce n'est pas un arc que j'ai incroyablement apprécié. Il y a de bonnes idées et ce n'est pas désagréable à lire, mais il n'y a pas de séquences incroyablement fortes qui m'ait vraiment marqué. En outre, le fait que j'ai sauté une partie du Batman de King (toute la fin de l'arc Bane, les intermèdes et l'arc the War of Jokes and Riddles) me joue ici un tour puisqu'on fait références à des événements qui se sont passés pendant la guerre, ce qui ne m'aide pas à vraiment être impliqué dans le numéro.


Par contre comme toujours, il y a de bonnes surprises dans ce numéro. La résolution est plutôt bien trouvée et permet d'officialiser dans la série principale une relation entre deux personnage qui méritait d'être fermement établie comme canon.


Pour la partie graphique, comme d'habitude, je ne suis pas hyper fan du travail de Janin, ni de comment Chung choisit de le coloriser. On notera en outre que Petrus vient à la rescousse pour dessiner quelques pages. Il fait l'effort d'avoir quasiment le même style de Janin, ce qui est plutôt appréciable, mais ce qu'il propose est quand même un cran en-dessous.


Bref, pas le plus grand arc que Batman ait connu, même si l'idée de base est sympa et ça fait plaisir de voir Poison Ivy mise en avant puisque ça n'arrive clairement pas tous les jours. Mais je trouve que ça reste très anecdotique et j'espère que Tom King arrivera à faire des histoires plus marquantes dans les prochains numéros. [6]



Batman #44 [Avril 2018]



Pour son Batman, Tom King a opté pour une approche assez singulière. Là où Snyder nous avait habitué a de longs arcs épiques, et Tom King avait plus ou moins commencé son run sur le même genre de chose, il opte maintenant pour des arcs très courts de 2 à 4 numéros, voire carrément des numéros one-shot. Ça permet au scénariste de faire des choses assez inédite sur le personnage, plus intimiste, moins dans l'action à outrance.


Mais du coup par rapport à une époque où le Chevalier Noir avait 3 séries où il se passait pleins de trucs fous chaque mois, où il devait vraiment être surbooké entre ses nombreuses missions solos et son travail avec la Justice League, aujourd’hui il vit quand même une époque beaucoup plus tranquille où les criminels de Gotham ne font quasiment plus rien. Pas étonnant qu'on ait jamais autant vu Batman au lit que dans les récits de King.


Donc dans ce numéro, King s’intéresse surtout à Catwoman, et nous propose deux narrations en parallèle, une partie magnifiquement dessinée par Joelle Jones et colorisée par Jordie Bellaire où Catwoman fait une escapade nocturne pour aller essayer une robe de marié, et en parallèle on a le droit a des séquences illustrées par Mikel Janin, colorisée avec des parti-pris assez pop et osé et qui fonctionnent bien par June Chung, et qui reviennent sur le passé de la relation entre Batman et Catwoman, en rendant hommage aux styles graphiques des décennies passées des deux amants.


Le récit est en soi assez anecdotique, mais permet de mieux mettre en valeur le personnage de Catwoman, qui est tout de même amené à prendre une importance primordiale dans la vie de Batman. C'est une lecture plaisante, King sachant très bien écrire ce genre de tranche de vie, et les dessins de Joelle Jones sont vraiment fabuleux, la dessinatrice ayant vraiment une maîtrise parfaite de Selina Kyle. [7]



Batman #45 [Avril 2018]



Tony Daniel livre quelques belles cases. Et Tom King est encore une fois parti dans une petite intrigue totalement barrée plutôt que de faire du Batman conventionnel. Le cliff de fin est assez raté dans son exécution ce qui donne un sentiment de déception à la fin du numéro, mais à part ça, je reste curieux. [7]



Batman #46 [Mai 2018]



C'est sympa à lire, mais c'est pas non plus ce que King a écrit de plus remarquable. On se demande surtout où il veut en venir avec ça. Est-ce que ce n'est qu'un intermède elseworld rigolo qui n'aura aucune conséquence ? Ça peut tout aussi bien partir sur un truc qui va complètement changer le statut quo du perso avec des retcons énormes (mais ce genre de chose ne semble plus trop être l'esprit de l'époque où on est quand même encore vers du retour aux sources). Les dessins de Tony Daniel sont plutôt jolis et la référence à Batman Returns est facile mais fait toujours plaisir. [6]

arnonaud
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le 7 oct. 2016

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