Ça foisonne, ça pullule, ça grouille de partout, chaque page est pleine comme un œuf et c'est ça que j'aime le plus, parce que l'histoire, bon, j'avoue que j'ai un peu perdu le fil depuis 6 ou 7 tomes. Tout est hyperbolique, là-dedans : les rois sont empereurs, les mages archimages, les prêtres demi-dieux, les démons princes des Enfers, les femmes succubes, les brutes ogres... mais c'est le cahier des charges de cette série festive qui en met plein les yeux. Ils n'ont peur d'aucune surenchère. C'est un peu moins drôle qu'au début (enfin, c'était quand même un poil trop potache, à la base, alors on n'y perd peut-être pas tant que ça) mais la double page traditionnelle consacrée au choc de deux armées pléthoriques vaut à elle seule sa demi-heure d'exploration visuelle attentive. Lu et approuvé !