le 8 juil. 2018
Marini sort son joker...
Si le premier opus de ce diptyque m'avait surtout plu pour ses visuels que pour son histoire, ce second ne déroge pas non plus à la règle et n'offrira guère de nouveauté. Scènes d'action...
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Après une première partie qui m'avait séduit par ses thématiques (enfant abandonné, paternité non-reconnue de Bruce) et son visuel, j'avais de réelles attentes pour ce second tome. Attentes déçues puisque ce tome n'ajoute pas grand chose et se contente de résoudre simplement ce qui était en suspend après le début. En soi on n'a donc pas grand chose à se mettre sous la dent. Pas de réflexion, pas de profondeur, juste la résolution de la crise avec de l'action encore et toujours sans rien derrière.
De plus Marini renonce à une vision grandiloquente pour un côté intimiste et sale qui font perdre la beauté gothique du Gotham du premier tome. On perd donc le charme du premier tome sur les décors malgré une continuité visuelle et une belle réussite sur ce plan.
On regrettera le côté très caricatural de plusieurs personnages. On notera que Marini fait de Harley Quinn un personnage particulièrement peu agréable tant celle-ci respire le sexisme de l'auteur : une femme c'est fait pour être sexy, qu'on voit sa culotte et être débile. Comme ça on voit en comparaison d'elle combien les hommes sont intelligents.
Résolution sans grand chose d'autres, le tome n'a pas non plus une narration aussi plaisante et captivante que le premier. On regrettera la conclusion, se voulant faussement « twist » pour n'être finalement que superficielle. Heureusement le personnage de la « fille » de Bruce rend la lecture très agréable et l'univers final qui s'offre à nous est très agréable. On pardonnera Marini aisément de la déception de ce second tome à condition qu'il puisse peut-être continuer à développer cet univers qui me donne tout de même très envie !
Créée
le 19 janv. 2019
Critique lue 250 fois
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