La suite des aventures rocambolesques de Crying Freeman. Là où le premier se tenait à peu près, ici c’est n’importe quoi : de simple tueur, il devient chef d’un groupe aux moyens conséquents (mais on ne sait pas d’où vient tout cet argent), les ennemis se succèdent sans qu’on sache d’où ils sortent. Ça n’a ni queue ni tête, les personnages sont débiles, les situations aussi (mais d’où peut venir l’idée de tester sa femme pour s’assurer qu’elle se suicide si elle est attaquée ?).
Côté dessin, c’est sombre, parfois fouilli, parfois un peu mieux, et tout semble prétexte à dessiner des femmes nues (ou des hommes nus, pas de sexisme). Et quel est l’intérêt de dessiner une femme en train de pisser ?
Une sacrée déception qui se lit tout de même assez bien.