Ce tome de Death m’a particulièrement touché par sa sensibilité et sa poésie. Neil Gaiman continue de donner vie à la Mort comme un personnage humain et bienveillant, explorant les thèmes du deuil, de l’amitié et de la valeur de la vie. L’histoire suit Delirium et d’autres personnages secondaires, tout en offrant une réflexion sur les choix que chacun fait et sur la manière dont les petites actions peuvent influencer la vie des autres.
Le dessin de Mark Buckingham apporte chaleur et expressivité aux personnages, tout en conservant un style légèrement cartoonesque qui contraste avec la profondeur émotionnelle du récit. Les couleurs renforcent la douceur et l’atmosphère rêveuse de l’histoire, permettant au lecteur de ressentir pleinement les émotions des protagonistes. J’ai particulièrement aimé l’équilibre entre humour, mélancolie et réflexion philosophique, qui rend le récit à la fois accessible et profondément touchant.
Résumé
Un récit sensible et poétique, où Gaiman et Buckingham explorent la valeur de la vie et les choix humains, soutenu par un graphisme expressif et des couleurs douces.
✨ Une lecture émouvante et réfléchie, idéale pour ceux qui apprécient les histoires de super-héros traitées avec humanité et profondeur.