le 12 févr. 2017
Sur scène, jusqu’au bout
Le féminisme en biopic, c’est décidément la mode. Que ce soit au cinéma (« Jackie » de Pablo Larraín) ou en bande dessinée (Pénélope Bagieu avec « California Dreamin’ » et sa série « Culottées ») il...
On ne s'ennuie pas une seconde à parcourir la vie trépidante de Joséphine Baker mais, malgré les 460 pages de l'ouvrage, on regrette que de nombreux passages donnent l'impression de n'être que survolés.
Même si elle s'apparente très souvent à une hagiographie, cette biographie se révèle très instructive et l'on y découvre une multitude de personnages dont le grand public ignore qu'ils ont croisé Joséphine Baker dans son existence hors du commun, tels Georges Simenon ou l'architecte Le Corbusier. le graphisme épuré de Catel n'en est pas moins expressif et contribue tout particulièrement au plaisir de lecture.
Quant aux notices biographiques qui suivent la bande dessinée, elles apportent au lecteur exigeant un supplément d' informations des plus appréciables et viennent ainsi compenser le traitement superficiel de certains épisodes de la vie de l'artiste.
Créée
le 13 déc. 2022
Critique lue 26 fois
le 12 févr. 2017
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