Décevant
C'est bien la première fois que je suis déçue par un Davodeau ! Autant "le chien qui louche" est intéressant graphiquement (représentation des statues, en particulier), autant le reste m'a laissée...
Par
le 11 nov. 2013
5 j'aime
Mouais.
Davodeau, c'est le genre d'auteur du quotidien qui devrait me plaire, mais son rythme mollasson fait que je m'emmerde toujours en lisant ses bds. Ici, ça se laisse suivre quand même mais on se demande, surtout durant la première moitié du récit, quand ça va décoller ? Ça parle, ça digresse (je ne sais pas pourquoi ça parle autant de sexe, ça n'apporte absolument rien à l'intrigue en soi), et le tableau on l'oublie un peu beaucoup. Les personnages sont intéressants dans le fait qu'ils ne sont pas spécialement agréables, y compris la copine du héros qui mérite parfois une bonne baffe (comme toute sa famille).
Graphiquement, c'est correct. Bon, c'est un peu maladroit, limité aussi, les deux seules nanas à avoir du dialogue sont identiques. Le découpage est bien pensé, avec quelques compo très bien senties. Le lavis est timide mais suffisant pour donner de la profondeur. Les expressions sont justes ; les attitudes sont un peu trop figées. Il est dommage aussi que l'on ne trouve pas une texture particulière aux statues, au final, s'il n'y avait pas le contexte du musée, on pourrait penser que ce sont des gens à poil.
Bref, ça se lit, mais c'est un peu mou, comme ma bite en été.
Créée
le 20 août 2025
Critique lue 4 fois
C'est bien la première fois que je suis déçue par un Davodeau ! Autant "le chien qui louche" est intéressant graphiquement (représentation des statues, en particulier), autant le reste m'a laissée...
Par
le 11 nov. 2013
5 j'aime
Fabien est dans l’embarras. Cet agent de surveillance au musée du Louvre vient de faire la connaissance de sa belle famille, des marchands de meubles d’Angers un poil franchouillards. Après un repas...
Par
le 1 nov. 2013
5 j'aime
3
Etant un fervent et régulier visiteur du Louvre, j’aime lire la collection qui y est consacré chez Futuropolis en partenariat avec les instances du Musée. Faisant appel à de (très) grands noms de la...
Par
le 13 déc. 2014
3 j'aime
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
125 j'aime
35
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
124 j'aime
57
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
123 j'aime
45