Mise à jour de l'application et du site. On vous en dit plus ici.

Comme prévu, Morris rectifie le tir, s'améliore déjà et fournit ainsi un excellent album composé de trois histoires cette fois.

Ma préférence va pour la troisième qui est bien plus absurde que toutes les autres. Mais aucun n'est à jeter franchement. Quelques facilités de temps en temps, c'est vrai, mais souvent elles paraissent logiques (comme ces oeufs situés dans l'arbre, ça fonctionne parce que c'est probable).
Quant au dessin, c'est plus riche, plus détaillé, els cadrages sont plus intéressants, plus adéaquats (sauf à quelques rares reprises dans la deuxième histoire où Morris se veut plus audacieux, sauf que ces cadrages plus spectaculaires ne collent pas vraiment avec le ton de l'album).

Bref, un album très drôle, très fou.

(et pour le détail des notes :
Rodéo : 8/10
Desperado city : 8/10
La ruée vers l'or de Buffalo Creek : 9/10)
Fatpooper
8
Écrit par

Créée

le 26 août 2014

Critique lue 405 fois

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 405 fois

8

D'autres avis sur Rodéo - Lucky Luke, tome 2

Rodéo - Lucky Luke, tome 2

Rodéo - Lucky Luke, tome 2

le 22 déc. 2015

Chapeau!

Morris mène seul la barque pour ce deuxième album de Lucky Luke. Le Poor lonesome Cowboy, corrige les bandits, se révèle talentueux aussi bien sûr un taureau qu'à la baston. ça cogne, ça tire dans...

Rodéo - Lucky Luke, tome 2

Rodéo - Lucky Luke, tome 2

le 12 avr. 2021

Du classique dans tous ses états

Morris pose dans cet album son empreinte sur ce qui deviendra une marque de fabrique : dépeindre, au départ avec humour et action, puis avec l'arrivée de Goscinny avec plus de profondeur, des scènes...

Du même critique

Taxi Driver

Taxi Driver

le 16 janv. 2011

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

Les 8 Salopards

Les 8 Salopards

le 3 janv. 2016

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

Strip-Tease

Strip-Tease

le 22 févr. 2014

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...