le 11 mars 2022
Critique de Sensor par Lou Knox
Le maître mangaka de l’horreur japonais lisse un peu ses habitudes, laisse de côté ses traits malsains et sombres pour une histoire plus poétique et cosmique qui ravira les plus curieux.ses...
C'est pas le meilleur ouvrage de l'auteur.
Ce qui est intéressant, c'est la manière ont l'auteur exploite l'univers ; il aurait pu facilement répéter les mêmes intrigues, au lieu de ça on sent sa volonté d'approfondir cet univers, d'adopter des points de vue différents. Le bémol c'est que ce n'est pas toujours le top, que tous ces récits sont un peu inégaux entre eux, et puis surtout on termine le récit avec la sensation que tout n'a pas été dit, qu'il y a des trous dans la narration. En même temps c'est bien de laisser ouvert à l'imagination du lecteur mais cela reste malgré tout trop flou.
Le graphisme est sympatoche ; je trouve que l'auteur s'est conventionnalisé avec le temps et qu'il propose un découpage proche de ce que l'on trouve dans la plupart des mangas, mais il parvient tout de même à délivrer quelques chouettes pages et des idées graphiques intéressantes.
Bref, ça se lit bien.
Créée
le 13 janv. 2023
Critique lue 42 fois
le 11 mars 2022
Le maître mangaka de l’horreur japonais lisse un peu ses habitudes, laisse de côté ses traits malsains et sombres pour une histoire plus poétique et cosmique qui ravira les plus curieux.ses...
le 13 janv. 2023
C'est pas le meilleur ouvrage de l'auteur.Ce qui est intéressant, c'est la manière ont l'auteur exploite l'univers ; il aurait pu facilement répéter les mêmes intrigues, au lieu de ça on sent sa...
le 10 sept. 2022
Il y a du Lovecraft dans Juni Ito.L'univers regorge de monstres hideux et il tient à nous le révéler.Le mangaka nous propose donc une ballade au pied d'un volcan où tout va mal tourner. Et où le mal...
le 16 janv. 2011
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
le 3 janv. 2016
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
le 22 févr. 2014
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique