L'échec commercial de 47 Ronin, surnommé par Variety "le "Titanic des films de samouraïs", n'a rien d'étonnant. Et puis les films d'arts martiaux, c'est vraiment pas ma came.
Pourtant j'ai plutôt bien aimé ce film de série B qui a fini par me prendre dans son histoire de vengeance et d'honneur. Keanu Reeves y apparaît au bout du rouleau, plus en fin de carrière que jamais, et ce film est sans doute à ranger directement aux côtés de nanars fantastiques comparables jalonnant la filmographie de Nicolas Cage, comme Le dernier des templiers.
Mais ça se laisse regarder... avec un brin de culpabilité peut-être ?