Ok, c’est bas du front, totalement con et beauf, mais voilà, c’est emballé par Jerry Bruckheimer. Ça passe tout seul, sans vaseline, le mot « archétype » est maître mot du scénario, vous êtes bien dans les années 90 en fin de cycle… J’ai rattrapé ce film sans arrière-pensée, mais étant né dans les années 80, j’ai cette maladie du personnage caricatural typiquement 90’, la maladie du blockbuster de cette décennie bénie. Ne me jugez pas, vous qui êtes née en 2002, vous aurez mon discours sur Marvel Endgame dans 20 ans. Sans rancune.