D’identitaires troubles agitent ce film comme son époque incertaine et fragile, complètement troublée, morcelée, craquelée. Qui annule la notion d’appartenance culturelle et la remplace par une quête généalogique bien moins salvatrice.
Passer outre Louis Garrel, l’insupportable beau gosse gentil et drôle qui ne fait qu’éluder le drame en le rendant mollasson à chaque apparition. Regarder plutôt Maïwenn éblouissante dans l’interprétation de son propre rôle. Et ces magnifiques scènes d’embrouilles familiales qui évoquent le cinéma de Xavier Dolan.
Non, l’émotion opère. Il faut que le métissage.
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