Aliens commence là où Alien le 8ème passager se finit, avec une Ripley flottant dans l'espace à bord de son vaisseau.
L'assureur de Nostromo ose lui reprocher d'avoir tout fait sauter, ce qui est un comble vu ce qu'elle a vécu. Pire, elle apprend qu'elle a passé 57 ans à dormir, et que sa fille est morte de vieillesse. Et que des humains ont colonisé la planète des Aliens. Et qu'ils ne donnent plus signe de vie depuis quelques temps.
C'en est trop, son sang ne fait qu'un tour. Il faut faire partie de l'équipe de badass qui est mandatée pour sauver d'éventuels survivants. Bon, la présence d'un robot à bord n'est pas sans lui rappeler l'ancien, qui a trahi, elle est sur ses gardes.
Et elle a bien raison, car la planète est infestée de sales bestioles. Elle doit suppléer à l'incompétence du lieutenant pour éviter que cette histoire ne tourne au carnage...
Aliens débute certes lentement, tout comme son prédécesseur, mais dès que l'action démarre vraiment, ça envoie le bois, et certains soldats font preuve de bravoure, ce qui donne quelques instants jubilatoire où les aliens volent en éclats! Putain qu'est-ce que c'est bon de voir ces sales bêtes exploser dans tous les sens!
L'apogée est atteinte lorsque l'on découvre la Reine mère (qui vient combler nos lacunes sur la reproductions chez les Aliens), impressionnante tel un boss de fin de niveau.
Un film efficace, prenant, qui met encore en valeur une Sigourney Weaver au top.