Les manants et la putain
Le goût pour le souffre et la provocation de Buñuel ne sont plus à prouver lorsqu’il s’attaque au roman de Joseph Kessel, qui fit déjà scandale lors de sa publication en épisodes dans la presse...
le 15 févr. 2021
23 j'aime
Belle de jour est un film sur les fantasmes d'une bourgeoise qui est en mode attraction répulsion. Si le sujet est bon et intéressant le jeu des acteurs m'a quelque peu bloqué l'accès au film. Cette façon désincarnée de réciter le texte et certes un choix de Bunuel seulement il ajoute une distance inutile au récit fantasmagorique de cette femme. Certaines scènes sont aussi cassées par le montage abrupt de Bunuel ce qui a pour effet de provoquer encore plus de distance au film.
Créée
le 26 nov. 2014
Critique lue 309 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Belle de jour
Le goût pour le souffre et la provocation de Buñuel ne sont plus à prouver lorsqu’il s’attaque au roman de Joseph Kessel, qui fit déjà scandale lors de sa publication en épisodes dans la presse...
le 15 févr. 2021
23 j'aime
Dans son autobiographe, Luis Buñuel souligne la grande influence qu'on eut sur son oeuvre les écrits du Marquis de Sade. De fait, le réalisateur espagnol n'a jamais manqué dans ses films de faire...
Par
le 3 févr. 2021
20 j'aime
6
Vu comme une comédie, Belle de jour est réussi - ce qui, sans doute n'était pas l'intention première de Luis Bunuel lorsqu'il adapta le roman de Joseph Kessel qui se voulait, selon les dires de...
le 14 août 2022
19 j'aime
8
Du même critique
En voilà une chose qui en fait du vacarme, ça bouge dans tous les sens mais pourquoi? Pour faire du divertissement, c'est pour cela que Disney a acheté la licence Star wars après tout. La société aux...
Par
le 18 déc. 2019
79 j'aime
44
L'endoctrinement de la jeunesse Allemande est le sujet de ce Jojo Rabbit, qui voit Adolf Hitler comme la seule voie à suivre. Adolf est là constamment pour le petit Jojo, il est son ami imaginaire...
Par
le 28 janv. 2020
66 j'aime
16
Les années 60 à 70 ont été une très bonne période du cinéma, elles étaient inventives et permissives. Pourtant la censure était omniprésente, mais les cinéastes trouvaient tout un tas de stratagèmes...
Par
le 28 nov. 2019
55 j'aime
6