Que dire..
Commençons par signaler que je reste absolument réfractaire au "phénomène" Björk (qui semble d'ailleurs être entré en récession en même temps que l'Islande. C'est bien pratique vu que ça m'épargne nombre d'occasions d'avoir une furieuse envie d'éclater les dents des adultes qui en font le panégyrique), et que donc, forcément, je n'ai pas regardé Dancer in the Dark pour sa contribution à ce, heu, machin.
Non non, de fait, je l'ai vu *malgré* sa présence sur l'écran.
Et j'ai souffert. Beaucoup. Björk m'insupporte, et au bout d'environ 15 minutes de film, ou tout le monde sauf elle sait qu'elle va dans le mur, tous les efforts déployés par Lars von Trier pour que le spectateur pleure sur le sort de la malheureuse Björk, toutes ses tentatives de manipulation assez transparentes (et assez désagréables, du coup.. Surtout quand on n'aime pas Björk) tombent à plat, et on se retrouve a espérer qu'elle crève bientôt, ne serait-ce que pour qu'elle arrête de chanter et FERME TA GUEULE PUTAIN MAKE ME A SANDWICH.
J'ai mis 3 parce que j'ai eu presque un orgasme lors de sa pendaison, qui, bonus, interrompt sa dernière chanson.