L'américain Philip Kaufman jouit vraiment d'une filmographie paradoxale, surtout depuis la fin des années 80, alternance d'oeuvres d'inspiration littéraire ("L'insoutenable légèreté de l'être", "Henry & June", "Quills", "Hemingway & Gellhorn") et de séries B policières ("Soleil levant", "Instincts meurtriers"). Avec ce dernier, on se situe clairement dans la tradition de ces... Lire la critique de Instincts meurtriers