Symptome : Atrophie du cerveau. Diagnostic ? Simulation Bobo de mort cérébrale.....

Bonjour à tous,


Aujourd' hui, je m' en vais faire la critique de ce film d' un réalisateur qui a le don de m' insupporter. Il pur la suffisance, la prétention, le bobo, à plein nez. Maintenant que j' ai réglé mes comptes avec le personnage, passon à ce film. Qu' est-ce que je peux en dire ?


"Laurence Anyways" c'est l'histoire d'un homme qui veut devenir une femme mais aussi une très belle histoire d'amour entre cet homme et la femme qu'il aime. Ensemble ils vont devoir batailler face à cette révélation et Xavier Dolan nous montre pratiquement dix ans de cet amour écorché, parfois cruel mais souvent beau. MAGNIFIQUE !! En théorie.... C'est très beau sur le papier mais le tout filmé, il faut accepter la prétention du film et de son réalisateur. Certes il assume ses choix jusqu'au bout notamment dans celui de sa superbe bande-originale qui compose de fabuleux moments du film mais aussi dans le choix du traitement de son sujet qui est pas vraiment original, fragmenté dans le scénario, et qui n'impose pas de regard critique. il faut dire qu'il perd le spectateur dans sa mise en scène qui a des allures de branlette et où il semble se préoccuper plus de son propre amusement que de celui du spectateur qui subit pendant 2h40 une histoire qui finit par lasser et dont on décroche trop facilement.... Un vrai petit con....


Mais, surtout, quelle hypocrisie .. Soit disant un film sur le transgenre, en fait une historiette hétéro bon teint .. Ca ne va nulle part . A part faire du scandale dans les lieux publics (deux ou trois scenes dans des cafes ou les personnages feraient mieux de fermer leur bouche ) , ce couple affligeant n'a rien à montrer . Melvil malgré sa boucle d'oreille et ses cheveux longs est l'archetype du macho dans sa manière de parler et d'agir .


J'avais fort peu apprécié le premier opus en 2009 du jeune "génie" québécois ("J'ai tué ma mère"), notant alors : "nombriliste sur le fond, hystérique sur la forme". Du coup, j'avais "zappé" sans regret son 2ème film ("Les Amours imaginaires") l'année suivante ! Cédant aux sirènes de la critique (tout en subodorant que je risquai de m'en repentir), je viens de m'infliger une vraie purge (2 h 40 - pour dire quoi d’ailleurs ? – « c’est beaucoup trop long », pour paraphraser le début du film, quand Laurence, prof de lettres, veut faire un mot pour dénoncer la logorrhée proustienne !). Qu'a voulu montrer (à défaut de démontrer) l'enfant chéri du Boboland (puisqu'il est à la fois à l'écriture et à la mise en scène) ? Une histoire d'amour majuscule entre Laurence et Fred (la meilleure trouvaille que ces deux prénoms épicènes), compliquée par la variable du "transgenre" ? Sans doute quelque chose comme cela, mais le scénario est filandreux au possible, les personnages, ou bien outrés (le duo central), ou bien oubliés en cours de route (comme la mère de Laurence, ou les "freaks" Rose), les péripéties et narrations diverses, ou délayées, ou elliptiques. Quant à "Laurence", le résultat tient plus du travesti que du transsexuel au visuel (aucun changement de certains caractères sexuels secondaires, comme la pilosité faciale – il semble que ses jambes étaient, elles, rasées – et encore la tessiture vocale) et surtout on ne sent guère son évolution psychologique, qui devait pourtant faire l’essentiel du propos. Aucune performance d’acteur donc pour Melvil Poupaud, au-delà d’un « histrionnage » peu convaincant. Sa partenaire canadienne, Suzanne Clément, est nettement meilleure en « Fred » : on lui doit les rares moments d’émotion (1 étoile pour elle seule). Verbeux, creux, mais (comme déjà noté pour « J’ai tué ma mère ») : « quelques (rares) idées de mise en images intéressantes ». Mon opinion sur Xavier Dolan n’aura donc pas évolué d’un iota !


Leçon de beauté numéro 1 : être soi-même ; leçon de beauté numéro 2 : être soi-même ; leçon de beauté numéro 3 : être soi-même... Non, vous ne regardez pas la télévision devant les vieilles réclames pharmaceutiques d'Yves Rocher : vous êtes devant le troisième premier film de Xavier Dolan, l'insupportable et prétentieux petit chéri de la presse moins bohème que bourgeoise qui nous montre sa dernière fanfaronnade chic et choc, bric et broc, tic et toc : l'interminablement punitif Laurence Anyways. Être soi-même... C'est le slogan à peine subliminal, creux et répétitif de ce long clip publicitaire vulgaire et racoleur, qui souligne son propre argument de manière si maladroite et puérile qu'il finit rapidement par se retourner contre lui-même. Tout, dans Laurence Anyways, fleure bon le parfum des grandes surfaces et des petits tracas : un sujet précédé par un consensus tacite mais inébranlable ; une esthétique hideuse mêlée de peintures grasses, de musiques tendances et de sourires commerciaux ; un Poupaud tête-à-claques dirigé avec un nombrilisme si agaçant par Dolan qu'on y soupçonne un éventuel alter ego auto-suffisant ; de l'hystérie, des effets à chaque plan témoignant d'un souci de plaire coûte que coûte et du patois canadien à n'en plus finir pour que le métrage sonne " vrai "... C'est évidemment complètement arty-ficiel d'un bout à l'autre, le machin bigarré monstrant sa garde-robe comme un marchand de vent pomperait l'air par simple caprice. Preuve qu'avec de belles toilettes on ne fait pas forcément du bon cinéma. Alors, que reste t-il ? La silicone des images polluant la rétine ? La soupe pop et flasque mêlée aux bruits inécoutables s'infiltrant dans les tympans ? Surtout l'envie d'enfoncer très loin le canon des deux doigts au creux de la gorge. Une purge tout simplement débectante.


Mais, argumentons, un peu. Allons-y. De fait, Laurence Anyways évoque constamment une éthique du regard, mais cette éthique, le film ne la pratique pas. Pire: le film ne s’intéresse qu’aux autres pour les stéréotyper, les instrumentaliser et en faire les pantins subissants du discours qu’il a décidé d’asséner.
Prenez par exemple Charlotte et Albert, les deux personnages avec lesquels Laurence et Fred se retrouvent lorsque leur couple se sépare (avant de tenter de se reformer un peu plus tard)… Bien qu’ils occupent théoriquement des rôles importants dans l’histoire du film (Albert a même un enfant avec Fred), Charlotte et Albert comptent pour du beurre dans Laurence…. Ils ne sont jamais vraiment regardés (ni par Laurence, ni par le cinéaste), demeurent complètement unidimensionnels (malgré la place qu’ils occupent théoriquement dans le récit), et restent de A à Z les stéréotypes qu’ils incarnent d’entrée de jeu; Charlotte est «la brave pauvre fille qui prend aveuglément soin de Laurence jusqu’à ce que, trahie, elle se venge en révélant sa présence à Albert»; et Albert est «le beau gosse fade qui fait un p’tit à Fred et qui l’enferme dans un gros bloc gris à Trois-Rivières».


À 159 minutes, Laurence Anyways a tout le temps nécessaire pour s’intéresser à ses personnages. Il a tout le temps, mais il n’en a apparemment pas l’envie. Le film privilégie d’ailleurs presque constamment le superflu (les vêtements qui tombent du ciel au ralenti, les dorures du grand décor des Five Roses, le faste viscontino-clipesque du «Ciné-Bal»…) à l’essentiel (le regard des personnages – qu’ils soient pour ou contre Laurence) où se joue le drame.... Cette impression se confirme quand on regarde de plus près les activités du couple Laurence-Fred, activités qui tournent souvent autour d’une seule et même occupation - rire des autres; de ceux qui peignent la chambre de leurs enfants en couleurs pastels, de ceux qui trouvent que le belvédère du Mont-Royal est un endroit romantique, de ceux qui collectionnent des bibelots de mauvais goût (la faute de goût étant apparemment un des pires crimes possibles dans l’univers dolanien). Bref, de ceux qui viennent involontairement garnir la «liste des choses qui nous enlèvent du plaisir» que Laurence et Fred entretiennent avec une puérilité adolescente jusqu’au milieu de la quarantaine…


Dans Laurence…, on crie souvent, on monologue beaucoup et on explique longuement. Mais on dialogue finalement très peu. Et on écoute rarement.


Ici comme dans son premier film, la mère reste, chez Dolan, le seul personnage auquel l’auteur (et son protagoniste) prêtent un tant soit peu d’autres dimensions. Sans doute parce que la mère demeure – peu importe le gouffre qui la sépare du protagoniste, et le mélange de haine et d’amour qui les unit – l’origine du «moi», un être dont la dérive (vers la vie rangée, le mauvais goût, etc…) reste un mystère digne d’intérêt pour notre protagoniste dans la mesure où il peut encore l’éclairer sur ses origines…


Mais hors de la mère, point de salut; le reste de l’humanité ne semble intéresser Dolan que dans la mesure où elle permet de grandir Laurence, d’en faire une victime ou un martyr en lutte contre l’incompréhension de tout le monde.


Prenons par exemple cette scène du restaurant dans laquelle Fred s’en prend à une serveuse qui se moque de Laurence.


Outre le fait que cette scène semble manifestement conçue pour nous refaire le coup de la tirade qu’Anne Dorval servait au principal dans J’ai tué ma mère, il est difficile de ne pas être heurté par l’agenda complètement démagogique de la scène; la serveuse apparaît le temps de balancer ses trois répliques et (surtout) d’encaisser sans broncher une tirade qui commence par «ostie d’grosse vache», se poursuit en l’affublant de toutes les tares du fascisme ordinaire, et se termine par «T’as pas le droit de parler, ferme ta câlisse de gueule!». Beau plaidoyer pour la tolérance et l’ouverture sur l’autre...


Ce morceau de bravoure (un peu trop manifestement calculé pour séduire le public) est d’autant plus grotesque qu’une serveuse (surtout une qui est jouée par Denise Filiatrault) n’endurerait jamais ce genre de tirade sans broncher, et qu’on imagine mal la clientèle d’un resto familial assister impassiblement à une scène de ce genre. Cette serveuse et cette clientèle ne sont visiblement là que pour permettre à Fred une montée de lait aussi thérapeutique qu’improbable, et aussi spectaculaire que manichéenne.


Pour dire les choses crûment, Laurence Anyways est un film qui manque étrangement d’empathie. Le film est passionnel sans être chaleureux, flamboyant mais superficiel, extravagant sans être généreux. Laurence Anyways en met plein la vue, certes, mais il éblouit par ses effets et son panache – rarement par l’émotion ou la vérité qui s’en dégage. En ce sens, le film est un peu comme Laurence – il voudrait être autre chose que ce qu’il est. Là où son sujet semblerait l’amener tout naturellement sur la voie du drame intimiste, son traitement cherche à le transformer en un drame épique. D’où le sentiment que tout est gonflé hors de proportion;


Mais il y a pire: en trois films à peine (et à 22 ans seulement), Dolan semble déjà en proie à cette tare qui guette généralement des cinéastes beaucoup plus âgés: l’auto-parodie.


La pluie de vêtements multicolores qui tombent du ciel (comme les grenouilles de Magnolia) quand Laurence et Fred arrivent à l’Île au Noir est le genre de scène qu’un parodiste aurait pu imaginer en voulant pasticher le style Dolan. De la voir mise en scène par le cinéaste lui-même a de quoi inquiéter, et fait craindre qu’il s’entête malheureusement dans la voie (amorcée par Les amours imaginaires) de la surenchère stylistique pubarde (quand Dolan dit qu’il avait en tête la bande-annonce de son film avant même le tournage, on le croit volontiers – c’est d’ailleurs là tout le problème: les «flashs» visuels du film sont généralement de l’ordre de «trouvailles» de pub ou de clip).


Car si Laurence... semble finalement trop long, ce n’est pas tant à cause de ses détours inutiles (comme les intermèdes avec les Fives Roses), ou parce que certaines scènes s’étirent indument (ce qui n’arrive pas si souvent que ça, en fait), mais tout simplement à cause de l’impression que le film prend finalement beaucoup de temps pour raconter très peu de choses.


Au début du film, Laurence cite à ses élèves une phrase que Céline avait écrite sur l’auteur d’À la recherche du temps perdu: «Proust explique beaucoup pour mon goût: 300 pages pour nous faire comprendre que Tutur encule Tatave, c'est trop.» Ironiquement, on pourrait dire à peu près la même chose de Laurence Anyways: Dolan explique beaucoup: 2h39 pour découvrir qu’un homme préfère son reflet en femme, c’est trop. Et surtout, quelle nouveauté !!! Merci l' artiste !!!


Xavier Dolan est célébré car il traite de sujets si à la mode dans la postmodernité comme ici le côté transexuel, ce qu'on appelle un déni de réel ou un déni de sexe. Une maladie mentale qui deviendra tout à fait naturelle par culpabilisation, ce qui ne retire pas ce déni de réel pour faire croire que tout est culturel. Or, le "ressenti" ne repose pas sur rien car on ne choisit pas son sexe, il est donné. Alors sous le prétexte de la "différence", l'individu devient Dieu, et veut changer le donné pour être en phase avec son "ressenti" qui ne dit jamais rien de l'automanipulation,ou des mensonges que l'on a opérés sur soi (le fantasme). Ca intéresse tout d'abord une déstructuration anthropologique propre à un marché (médical, scientifique, prothèse). Mais de faire croire que tout cela est "normal" est la ruse victimaire. Et Xavier Dolan qui devrait régler ses problèmes avec sa mère, enfourche sur la mode Nouvelle Vague un long récit bavard et pathos des atermoiements de son personnage principal. Diable que c'est bavard et long où on hurle et où on pleure pour impressionner le spectateur dans la séquence "émotion" bouleversifiante. Le misérabilisme du film qui accentue sur un tel personnage n'est là que pour cacher la réelle misère sociale bien plus grande et dont Xavier Dolan ne parlera jamais, préférant les bobos des bobos, histoire de cacher l'un par l'autre. Bref, un auteur fabriqué pour complaire aux médias et au marché. A quand l'homme heureux de s'accoupler avec une machine parce c'est "son" choix ?


Toujours les mêmes faiblesses qui rendent le cinéma de Xavier Dolan superficiel. Les acteurs sont exécrables - Nathalie Baye y fait exception bien que ce ne soit pas une actrice que j'admire particulièrement -, le film du mouvement bobo cinéma par excellence (les cahiers l'ont bien noté comme par hasard). Il ne manquait plus que l'apparition d'Almodovar pour couronner ce film d'un remarquable vide. Vous aimez les jolis plans avec un scénario qui se base sur de l'air? Allez-y! Vous pensez qu'il est temps de parler d'autre chose que de la sexualité et de vague à l'âme? Vous savez-ce que j'en pense. Si vous allez le voir, ne tombez pas dans le piège que l'on vous tend, celui d'endormir votre esprit critique sous prétexte qu'il s'agit d'un "sujet" peu abordé. Mes salutations au travail des techniciens.


Je veux bien, qu' en tant que bobo, on soit libertaire, mais là, faut pas déconner, non plus. depuis quand un enseignant peut se travestir devant ses élèves, et qu' on présente les critiques comme des marques d' intolérance ?? WTF ??!! Merci Xavier Dolan. En plus, le réalisateur en fait 10 mille tonnes sur le sujet. Car, on est bobo. donc, faut proner la tolérance pour tout, et n' importe quoi. Je suis désolé. Mais si un prof est un trans, et qu' il s' affiche à des élèves, désolé, mais je péterais un scandale.... Y a rien de normal là dedans. Merci l' exemple, pour les enfants....


Or, que faire, que dire, où aller?


Le film ne semble pas plus le savoir que Laurence. À tel point qu’après deux heures et demie d’avancée chronologique, Dolan se paye un gigantesque flashback, un retour à la scène originelle du couple, celle de la rencontre, le seul moment qui puisse encore faire exister la promesse d’un amour que l’on sait maintenant condamné avant même ses débuts. Un amour qui ne peut plus exister que dans les brumes du souvenir et dans les faux-semblants d’un plateau de cinéma…


Laurence Anyways passe complètement à côté de son sujet pour se raccrocher à l'évolution du couple que forment Melvil Poupaud et Suzanne Clément. Leur interprétation est catastrophique, pas moins que celle de Nathalie Baye, ce qui fait qu'on ne croit pas à la moitié des scènes, voire - pour mon voisin de fauteuil - à la relation toute entière. Je prendrais pour exemple la scène où Suzanne Clément insulte une serveuse pendant dix minutes. On a beaucoup de mal à s'attacher à ces personnages, malgré le fait qu'ils sortent de la norme, y compris à Laurence. En dépit de deux ou trois fulgurances cinématographiques, le film est interminable et truffé de scènes et de personnages inutiles. Il est bien loin d'être à la hauteur de ses ambitions. Xavier Dolan a intérêt à redescendre rapidement sur terre, sous peine que les critiques cessent de lui pardonner sa prétention démesurée.


Film décevant,long et répétitif et qui n'arrive pas à sortir de son intention "vive la différence" pour en faire une oeuvre intéressante. On enfile donc les clichés sur l'amour (complicité de Laurence et Fred filmée comme une pub, pour qu'on comprenne bien qu'ils s'aiment), sur l'étroitesse d'esprit ('il se maquille ?! C'est un cataclysme, tout s'effondre). Tout est surjoué, (sauf Melvil qui ne fait rien de précis, une fois qu'il a assumé son "switch") souligné deux fois, et on baille en attendant une inspiration qui transcende toute cette platitude, mais la plupart des scènes, bien sûr, sont filmées sur un mode hystérique pour dramatiser la faiblesse du propos. C'est un peu comme dans les sitcoms : on se crie dessus en se traitant... C'est comme certains profs : au lieu de dire des choses qui ouvrent l'esprit, ils répètent les mêmes, mais plus fort.


Ca tourne en rond, c' est long, chiant, répétitif, lourdingue.... J' ai franchement détesté ce film.
Trop long (2h40, quand même), surjoué et maniéré.
Je ne déteste rien de plus qu'un film qui finit par ployer sous le poids d'une histoire à la fois interminable et pire... indigeste. Avec cette impression désagréable d'avoir vu se succéder scènes d'hystérie (dans un restaurant, dans un bar, dans un hôtel...) et clips video à l'esthétique et à l'imagerie très années 80. Ca c'est pour la forme. Côté fond, bien sûr que cette réflexion sur la norme, l'amour, l'identité sexuelle n'est pas dénuée d'intérêt... Mais n'est pas Almodovar qui veut.... et manque à ce jeune réalisateur dont je découvre le cinéma à la fois du recul (certaines situations et dialogues manquent vraiment de finesse) et surtout de cet humour que le réalisateur espagnol sait manier à la perfection pour faire passer des pilules plus difficiles à avaler chez d'autres cinéastes. Et c'est je crois cette absence d'humour qui finit hélas par rendre ces 2 personnages passablement énervants et horripilants....La dernière dispute notamment.... Dommage...


Sur ce portez vous bien. Regardez ce film. Et avancez des arguments contraires, si vous avez aimé. Je suis curieux. Tcho. @ +.

ClementLeroy
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le 7 avr. 2015

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San  Bardamu

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