Je me suis pencher comme beaucoup de gens sur la carrière et les débuts professionnels de Gaspar Noé.Quand je pense à ses précédents films qui ont tout aussi diviser la critique, ma surprise aura été de voir que le réalisateur d'irréversible avait fait des études de philosophie et de cinéma. Mais la question que je me pose c'est : comment aprés avoir tourner avec Cassel et Bellucci avec ses contenus si violent et explicites d'avoir encore été plus loin par la suite dans ses films suivants?


Tout de suite l'impression qui me vient dans mes cellules grise est qu'il pourrait être comme le cousin très éloigné et en version plus hard de Marco Ferreri, un réalisateur de mauvais goûts comme il se plaisait a le dire et aimant les sujets scabreux et sulfureux mais dont Noé tout comme Lars Von Trier semble nous faire voir ce qui est de plus en plus réaliste donc forcément possibilité de trouver cela écœurant et insupportable. Bertrand Bonello a fait à ses débuts des films très ambiguë avec en particulier son fameux " Le pornographe". Il avait expliqué chercher à démêler l’écheveau de la relation charnelle et mentale.


Certains disent que le cinéma est le reflet de la vie. Maintenant de nos jours même dans les séries TV sont plus dan un coté naturaliste, explicite donc forcément réaliste. Mais peut-ont tout montrer au cinéma? Est ce que finalement tous ces films que l'ont connais ne sont-ils pas le symbole de la décadence actuel du cinéma ou le prix d'un cinéma moderne, plus vraie et plus libre?


Dés le début du film avec son introduction avec une scène d'amour bien crue annonce déjà la couleur de ce long-métrage de Noé. Chaque scène est présentée en ordre antéchronologique. Des flash-back trop long et étirer qu'on pourrait s'y perdre si on ne reste pas concentrer.


Dans les premières scènes, il y'avait une sensualité , je commencer à me dire mais pourquoi tant de bruit et après... de la vulgarité, banalité, répétitive et de la gêne. Le gros soucis de ses scènes de sexe est qu'elles sont interminable et pas essentielle. Ah oui appeler l'enfant Gaspar quelle blague tout autant que de voir Noé lui même joué un rôle.


Il contient une mélancolie présente donc l'homme et envahit a nouveau par son passé par un coup de fil qui vont rattraper ses souvenirs et qui a fait que par le présent son destin est scellé est d'une tristesse infini


Ce film peut nous toucher par certain moment car il peut nous faire rappeler ce qu'on a pus vivre. Il faudrait que je le revois encore une fois pour tout saisir.


Sois on aime ou on déteste, mais moi je me situe au milieu ce qui justifie un peu la note que je lui attribue. Même les penser était pas mal hélas je ne les ai pas toutes retenues à part une; vivre avec une femme c'est comme vivre avec la CIA, plus rien n'est secret. La musique est très bien donc je n'arrive pas à trouver les titres.


Je ne suis ni contre et ni pour ce genre de film donc il est tellement facile de taper aussi bien le martyrisé de classe. Après tout des films comme ça dans l'art et l'essai il en faut bien et pour tout le monde. Pasolini disait " Le droit de scandalisé c'est bien, être scandalisé c'est encore mieux et le refus d'être scandalisé est une attitude moraliste."


Sinon un peu trop long à regarder et passez votre chemin.

Cthulhu_Mantis
5
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le 24 sept. 2015

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Cthulhu_Mantis

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