Après avoir été adapté au théâtre, le roman de Maylis de Kerangal, Réparer les Vivants, se retrouve sur grand écran.
Jusqu’à présent, j’étais passée au travers de ce « phénomène ». C’est suite au passage des actrices au JT de France 2, et surtout, au propos d’Anne Dorval (actrice québécoise que j’adore) que je me suis laissée tenter.
Effectivement, ici, on ne tombe pas dans un pathos profond. La mise en scène se veut sobre et épurée. La cinéaste, Katell Quillévéré, est en équilibre du début à la fin pour nous montrer ce lien fragile, mais si important, entre vivants et morts.
Le tout offre une belle leçon de vie qui s’exprime via les regards, les sourires des personnages. Il suffit de si peu pour montrer que l’on est vivant.
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