Dios mio

Introduction du film : Sarah et John Connor sont à la plage, libres après les événements de Terminator 2. Et là un Terminator modèle Schwarzenegger débarque et bute John. Askip Skynet a envoyé un autre Terminator en plus du T1000, au cas où ce dernier échoue (si le modèle ultra évolué échoue, pourquoi en envoyer un moins évolué ?). Voilà comment rendre inutile un film, et ce, en même pas deux minutes. C'est d'autant plus remarquable que c'est James Cameron qui est responsable de ça.

Pour le reste on a des incohérences à la pelle (Si le Rev 9 peut se séparer en deux, pourquoi il ne le fait pas ? Après tout on travail toujours mieux à deux), des dialogues nuls ("Come with me or you dead in the nexte 30 seconds"), des effets spéciaux moches. On tombe dans la saga révisionniste à la Star Wars, Jurassic Park, Halloween : On reprend le même scénario que le premier opus, on fait revenir les vieux acteurs et on leur fait passer le flambeau à des personnages qui sont eux en plus jeunes, mais sans charisme. Et après il n'y a plus qu'à faire des suites ! Le tout mixé à la sauce SJW LGBTQ2SAA+42IJKLMNOP pour faire moderne. Après tout, c'est vrai que Terminator manquait de féminisme ! On met une petite touche de mexicain là dedans, il doit y avoir un public à draguer sûrement et BOOM, Terminator entre dans le 21 siècle, prêt à plaire à tout le monde. Ah bah non, le film s'est viandé. Mince, il faudrait peut-être penser à engager des bons scénaristes et metteurs en scène.