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Farfelu
Woody Allen exprime dans ce film une créativité hors du commun. L'œuvre se structure en une suite de sept sketchs abordant différents thèmes autour de la sexualité mais toujours sur un ton...
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le 31 mai 2011
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SensCritique>Films>Comédie>Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans jamais oser le demander>Critiques>Avis de Boubakar
Cachez-moi ce sein que je ne saurais voir.
Dans les films à sketches, il en ressort souvent un résultat inégal, car tout ne peut pas être forcément homogène. C'est le cas pour la quatrième et cinquième histoire, qui sont consacrées respectivement au travestissement d'un homme et une émission de télévision, mais en dehors de ces deux là, c'est souvent drôle car Woody Allen était déjà expert dans l'humour à froid, et, ici, non-sensique.
Si la deuxième histoire, où un gre est amoureux d'une brebis, au point d'être accusé de viol contre elle, est désoplante, les autres ne sont pas en reste avec une caricature assez corsée des Italiens, un fou du roi qui se coince la main dans une ceinture de chasteté, et les moments WTF du film avec un sein énorme qui fuit d'un laboratoire et ne peut être arreté que par un soutien-gorge géant, et le parcours d'un spermatozoïde blasé.
Quatre des sketches sont interprétés par Woody Allen, et ça doit être l'un de ses premiers films ne se déroulant pas à New-York, et on a très peu de Jazz, peut-être pour accentuer que ce n'est qu'une gigantesque pochade, et comme quoi le sexe peut (et doit) faire rire.
Si la deuxième histoire, où un gre est amoureux d'une brebis, au point d'être accusé de viol contre elle, est désoplante, les autres ne sont pas en reste avec une caricature assez corsée des Italiens, un fou du roi qui se coince la main dans une ceinture de chasteté, et les moments WTF du film avec un sein énorme qui fuit d'un laboratoire et ne peut être arreté que par un soutien-gorge géant, et le parcours d'un spermatozoïde blasé.
Quatre des sketches sont interprétés par Woody Allen, et ça doit être l'un de ses premiers films ne se déroulant pas à New-York, et on a très peu de Jazz, peut-être pour accentuer que ce n'est qu'une gigantesque pochade, et comme quoi le sexe peut (et doit) faire rire.
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le 20 oct. 2012
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