Critiques de Ultra Pulpe

Narval
10

Eros + Tétanos

Voyage à la fois onirique et cauchemardesque, pop et crépusculaire, sensuel et tragique, Ultra Pulpe est centré autour d'un couple de cinéma réalisatrice/muse qui menace de se déchirer. Pour...

le 16 juin 2018

20 j'aime

thetchaff
4

Ultra Violet

Argh ce grand écart, cette déception mâtinée de "Pourtant j'ai eu ce que je voulais" ! Les Garçons Sauvages m'avait foutu une baffe par sa direction artistique, ma seule envie était de découvrir les...

le 13 juin 2018

15 j'aime

1

Moizi
9

Waouh !

J'ai découvert Mandico très récemment avec les Garçons sauvages que j'avais trouvé formidable et là avec Ultra Pulpe je pense que je viens de commencer une intense histoire d'amour avec lui. Ce court...

le 17 déc. 2018

14 j'aime

4

JanosValuska
6

« J’ai dix ans »

Si la surprise est moindre puisque Les garçons sauvages sont passés avant, je retrouve dans Ultra pulpe l’univers que j’avais découvert, cette démesure orgiaque, cette volonté de creuser...

le 6 nov. 2018

3 j'aime

Mr_Kiki
10

Mon film préféré

Étant mon film préféré depuis plus d'un an, et l'ayant vu maintenant dix fois, je me dis que je suis bien obligé de défendre ce film à un moment, d'autant plus que sa moyenne sur ce site fait peur à...

le 10 nov. 2023

1 j'aime

2

Les-Oublis-du-cinma
4

Ma critique concerne 7 courts métrages dont celui ci

Ultra pulpe (2017-2020)7 courts métrages réunis dans des univers plutôt barzos.Une œuvre inclassable (SF, horreur, érotisme, action..), clairement je manque de mots.Difficile de décrypter ses...

Flo_Le
7

Critique de par Flo Le

cinematographie, decors et maquillage incroyables; expérimental et opaque

le 21 août 2021

Dieu_Incroyable
8

Critique de par Dieu_Incroyable

Comme d’habitude Mandico nous emmène dans son univers totalement barré. Et comme d’habitude certains détails qui vont faire mourir de rire certains agaceront les autres, l’érotisme du film fascinera...

le 21 déc. 2018

YasujiroRilke
2

Critique de par Yasujirô Rilke

Schroeter me manque ! Au "camp" classique mais non moins fiévreux du 1e s'oppose la débauche queer de Mandico. Le tout élaboré avec ce qu'on fait de pire dans l'art : le "délire de l'artiste"...

le 13 août 2018