Ce n’est pas un film qui bouleverse le genre, mais il m’a touchée avec simplicité. J’ai aimé voir Jon et son chien Devon s’apprivoiser peu à peu, comme deux âmes blessées qui trouvent en l’autre une façon de guérir. C’est un film simple, presque discret, mais d’une sincérité rare — une respiration d’humanité dans un monde de cinéma souvent trop bruyant.
Jeff Bridges m’a émue par son interprétation juste et sensible, mais ce qui reste surtout, c’est cette tendresse entre un homme et son chien : une petite guérison partagée, douce comme un baume posé sur la vie.