en voiture Simone !
Bien agréable petit film sans aucune prétention mais qui demeure bien attachant au final. Les personnages sont croqués avec tendresse et respect pour une petite comédie sur les différences sociales...
Par
le 3 juin 2012
2 j'aime
La curiosité est parfois un vilain défaut. J'étais curieux du casting. La distribution est intrigante : Belmondo, Cowl, Daumier, Noël Noël, Tissier, Chevit, Roquevert, Deschamps, Cassel et toute une ribambelle d'autres gueules du ciné français d'antan. Mais en fait, le scénario est pas loin d'être catastrophique, la mise en image est d'une platitude étonnante même. Le vieux apparait plus vieillot qu'il ne devrait : j'entends par là qu'il est de 1957 et qu'on le croirait tout droit sorti de la guerre, dix ans de plus facile. Les enjeux sont pauvres et ringards déjà à l'époque. Denise Grey était déjà vieille, c'est fou. Après je ne discute pas du jeu des acteurs, Noël Noël est très bien, mais le scénario les enlise dans un blabla inintéressant. Darry Cowl a l'air de s'emmerder grave. Et moi je n'en ai pas que l'air.
Créée
le 6 août 2023
Critique lue 17 fois
D'autres avis sur À pied, à cheval et en voiture
Bien agréable petit film sans aucune prétention mais qui demeure bien attachant au final. Les personnages sont croqués avec tendresse et respect pour une petite comédie sur les différences sociales...
Par
le 3 juin 2012
2 j'aime
La curiosité est parfois un vilain défaut. J'étais curieux du casting. La distribution est intrigante : Belmondo, Cowl, Daumier, Noël Noël, Tissier, Chevit, Roquevert, Deschamps, Cassel et toute une...
Par
le 6 août 2023
On touche le fond dans tous les compartiments du film, réalisation et direction d'acteurs inexistantes (seul Noël-Noël et Denise Grey s'en sortent), scénario grotesque, gags lourdingues et navrants,...
Par
le 14 déc. 2018
Du même critique
Très excité par le sujet et intrigué par le succès aux Emmy Awards, j’avais hâte de découvrir cette série. Malheureusement, je suis très déçu par la mise en scène et par la scénarisation. Assez...
Par
le 22 nov. 2017
54 j'aime
16
août 2012: "Holly motors fuck!", ai-je envie de dire en sortant de la salle. Curieux : quand j'en suis sorti j'ai trouvé la rue dans la pénombre, sans un seul lampadaire réconfortant, un peu comme...
Par
le 20 avr. 2013
53 j'aime
16
En règle générale, les œuvres se nourrissant ou bâtissant toute leur démonstration sur le pathos, l’enlisement, la plainte gémissante des protagonistes me les brisent menues. Il faut un sacré talent...
Par
le 4 sept. 2018
50 j'aime