(Critique sans spoilers)
Alors comme ça la licence Alien est devenue sa propre Bible.
Bravo les mecs bien joué... on a réuni tous les chapitres, toutes les références geeks trolilol, «la touche pas salue p*ute», et qu'on joue avec les trois mêmes briques tel une bouteille enfermant un microcosme de références consanguines & d'icônes corporates, et qui ne saurait plus jamais se renouveler.
J'ai ressenti la plus profonde des tristesses, horrifié (intellectuellement, culturellement), ainsi qu'hébété, sonné par cette beauté mortuaire telle Ripley devant sa clone à quatre jambes et deux faces soudées par je-ne-sais quel expérience démoniaque, fascinante par sa réalisation mais horrible par l'existence... Alien Romulus n'a cessé de gémir à mon oreille pendant deux heures : «TUE-MOI»
Rien à voir, circulez /20