Ce film est une ode de douceur, de couleur et une adaptation animé de La Métaphysique des Tubes d'A. Nothomb.
L'animation est belle, sans gros train noir, les couleurs sont foisonnantes, enivrantes, à la limite de l'impressionnisme dans les décors et paysages.
C'est une histoire touchante, mignonne : une enfant qui est un tube, qui est dieu, puis qui nait en goûtant au divin chocolat blanc.
Ce visionnage avec les deux cinéastes dans la salle Varda était pour moi le plus mémorable du Festival cannois.
Un film assez court, mais suffisamment puissant pour qu'on ne l'oublie pas.