Je m'attendais à rien mais putain c'est de la merde

Ce film réussit l’exploit de littéralement tout et ne rien raconter en même temps durant 2 heures et 15 minutes, mais plus encore de susciter une émotion précise ; la colère. Parce qu’à l’exception de l’horreur qu’était Star Wars 9, jamais je n’avais été aussi énervé face à un film qui se prend trop pour quelque chose d’intéressant. Le premier point révélateur reste le fait que sur 2h15, le film prend près de 1h25 à se lancer. 1h25 ! C’est-à-dire que jusque-là, le film est si hasardeux que rien ne fait de sens à l’écran, et rien n’indique la direction que l’on va prendre, car ce n’est qu’au bout de tout ce moment qu’on apprend enfin le but de l’enquête que l’on « suit », enquête qui sert davantage de bruit de fond tant le fil conducteur semble inexistant car pendant près de la moitié de l’œuvre, les protagonistes cherchent davantage à prouver leur innocence de la mort de Taylor Swift plus que de comprendre l’enquête… on fait du ping pong entre ces 2 sujets en fait. Et pendant ce long moment, le film n’a rien éveillé en moi (sauf la colère comme dit), car à force de nous faire tourner en rond sans rien raconter, on finit par comprendre qu’on nous prend pour un con.

Alors qu’est-ce qui fait que le film est si hasardeux ? C’est tout simplement les dialogues et situations absolument contradictoires ; quand un personnage dit A, l’autre répond π, et le dernier te dit qu’il va pleuvoir. On va prendre en exemple 2 scènes ; à la toute fin, après avoir découvert qui était le méchant responsable (en partie) de ce complot, Burt est drogué, les autres protagonistes sont présents, et notamment Valérie, qu’on voit tirer dans la mâchoire de l’antagoniste et de sa femme ; tout le monde s’exclame et condamne Valérie pour avoir ruiner le futur procès, tandis que Burt réalise que les méchants sont idiots parce qu’ils veulent toujours plus, mais ensuite on voit que Valérie n’a pas tiré sur l’antagoniste, mais affirme que même si elle en a très envie, elle ne le fera pas, car ce ne serait pas responsable, ce à quoi un autre homme dit qu’en effet, ça risquerait d’invalider le procès… et c’est tout. C’est-à-dire qu’on a une scène qui ne sert à rien, tant ce qu'elle montre est aussi flou que ridicule, qui ne suscite rien. Alors je vois les critiques dire qu'il s'agit de montrer que Valérie, malgré ses pulsions, reprend le contrôle d'elle et cherche à devenir meilleure, ne plus être esclave de ses "maladies" et des autres... mais la mise en scène n'aide pas, elle qui est d'une platitude à en faire dormir les morts. Au final je soupçonne cette scène d’être à une fin humoristique, mais qui n’est pas drôle, car le traitement de la blague fait qu’on n’a pas l’impression d’être face à une chute mais une affirmation, une simple pensée intrusive dont l’intérêt est inexistant pour le contexte… et si ce n’est pas censé faire rire, alors raison de plus de demander pourquoi la mettre, car si c’est pour montrer que Valérie est énervée, il y avait des manières bien plus pertinente de le faire, plutôt que de lui faire dire « j’ai envie de te tirer dessus mais je ne le ferais pas » avec un ton et une mise en scène neutre.


Dans une autre scène vers le milieu du film, 2 policiers débarquent au cabinet de Burt pour réclamer les preuves qu’il a effectué une autopsie sur le corps du général victime d’un complot, et donc que Burt n’est pas responsable de la mort de la fille (Taylor Swift) du général, puis on fait un gros plan ou on insiste sur 2 bagues que portent le second policier (ça ne sert à rien mais on nous fait tout de même un plan en évidence), ce à quoi Burt s’empresse de chercher le rapport mais est interrompu par le second policier qui lui demande s’il a des traitements contre l’impuissance (ça débarque de nulle part, ça répète la phrase comme ce pote pas drôle qui veut te faire comprendre qu’il a fait une blague, et ça ne fait rire absolument personne). Dans son bureau, il retrouve sa collègue de l’autopsie qui a le poignet cassé, la caméra coupe et remonte sur les 2 qui s’embrassent après que Irma (la femme) ait dit qu’elle se sent proche de lui (oui ils s’embrassent comme ça, sans que ce soit filmé, pour ensuite filmer la fin du baiser… quel est le but de la mise en scène si tu veux créer de l’amour entre les 2 personnages tout en cachant cette scène et en ne suscitant par la même aucun intérêt pour ce qui a lieu ?). Burt met de la musique et le second policier demande au premier pourquoi il met de la musique et si le premier policier aime cette musique, puis la femme de Burt, Béatrice, rentre dans le bureau et frappe son mari alors que les 2 écoutaient de la musique, puis il négocie pour que les parents de Béatrice, qui louent le cabinet de Burt, soient présents pour la soirée des anciens combattants… c’est ce genre de scène, décousue et dont il semble manquer des éléments pour relier chaque partie, qui m’a fait me demander si le film n’était pas volontairement absurde, d’autant plus qu’en sortant du cabinet, l’un des policier est dégouté en voyant une théière faite en éclat d’obus par Valérie, et affirme que ce n’est pas de l’art car ça ne véhicule pas d’émotion et que c’est moche, ce à quoi Burt répond que c’est peut-être la plus grande question du siècle. Mais le problème c’est que ça ne dit rien, ce sont là des dialogues qui semblent commencer à dire quelque chose, mais qui s’entrecoupent et ne vont jamais au bout de leurs idées, qui ne véhiculent pas la moindre émotion (d’ailleurs la scène avec la remise en question du statut d’art de la théière me semblait sur moment davantage être un moyen de faire face aux futurs critiques en disant « oui mais t'as pas compris c’est complexe comme question ») car chaque scène va à la fois trop vite dans ses idées, mais trop lentement dans sa mise en scène, donnant une sensation de lourdeur qui nous fait nous impatienter.

J’ai très sérieusement cru un moment que le film était une comédie absurde, qu’il voulait nous faire nous demander ce qu’on fait là, presque que l’on requestionne notre rapport à la réalité… sauf que ça n’est pas le message du film, et rien dans ce film ne nous permet d’affirmer que c’est en effet la trame à suivre, mais au-delà de cette première idée, rien dans ce film n’est assez « stable » pour avoir une direction bien précise, car au final non, le film n’a pas pour but de dénoncer l’absurdité de la vie, et tout ce qui a été vu pendant 1h30 ne contribuait même pas à l’intrigue…

En fait ce film n’a aucun rythme, toutes les scènes sont absolument décousues, mais plus encore il se cherche et se trouve au bout de cette fameuse 1h30, nous ayant emmené en bateau tout ce temps pour lamentablement couler. Les propositions esthétiques du film sont extrêmement confuses et nous empêchent de vraiment nous intéresser à ce qu'il a à nous offrir, d'où cette colère. Mais ça n’est pas tout.

Le film a su attirer le regard de nombreuses personnes par son casting ; que des acteurs connus ou au moins un peu, aussi bien dans son trio de protagoniste que les personnages secondaires voir tertiaires. Mais très objectivement, je me permets de poser cette question ; en quoi avoir de grandes stars confirme la qualité de l’œuvre ? La réponse est simple ; ça ne confirme rien du tout, si ce n’est qu’on a de l’argent, mais surtout qu’on a un jeu convainquant jusqu’au bout… mais non seulement ce dernier point peut être contesté (un acteur est bon s’il est avant tout bien dirigé par le réalisateur), mais le fait que le jeu d’acteur sera bon (ce qui est le cas ici) ne rendra pas le film meilleur, il le rendra moins pénible (car concrètement ce n’est pas parce que t’as saupoudré ta merde de sucre glace que ça le rend meilleur) ; on a donc un film qui se contente de collectionner ses stars comme un réalisateur sans talent collectionnerait les récompenses. Mais pour en dire un point positif, les acteurs ont tous leur importance dans le film (sauf Chris Rock qui existe) et rend l’alchimie entre les personnages… passables.

Car c’est bien un autre point sur lequel je ne peux pas passer, ce qui caractérise les personnages est complètement inutile aussi bien pour eux-mêmes que pour l’intrigue, l'esthétique étant complètement ignorée durant tout le film. Chaque personnage peut trouver son erreur à dire ; Valérie est censée être cette âme libre et indomptable qui peut aussi bien être une lumière pour les autres qu’un poids malgré le fait que les protagonistes l’apprécient, se démarquant par son art et son amour pour Harold, tandis que Harold est un grand ami et grand avocat qui se bat pour le droit des noirs, tandis que Burt est un médecin honnête dont son amitié est la chose la plus précieuse de sa vie. Sauf que ça on ne le sait pas parce qu’ils nous l’ont montré, mais parce qu’ils nous l’ont dit !

Car au final AUCUN de ses traits ne reviennent réellement dans l’intrigue et ne disent rien des personnages. Sérieusement, Harold qui veut défendre le droit des noirs d’accord, c’est la raison pour laquelle Burt et lui se sont rencontrés, et ensuite ? Ça revient 2 fois, pas plus, et même pas dans son combat contre le fascisme qui est pourtant au « cœur » de l’intrigue, car au final ça ne révèle rien de son identité, de ses expériences, de ce qu’il est prêt à faire pour les autres, car ça n’est jamais exploité, et c’est au final un trait oubliable. Valérie est la pire en ce sens ; elle est considérée par les autres comme une amoureuse de l’art, c’est la raison pour laquelle Harold et elle se rencontrent via la collection d’éclats d’obus, puis on voit qu’elle créée des photos et autres objets… mais à nouveau ça ne sert que d’élément du décors, jamais pour appuyer ce côté « instable mais libre », puisqu’en dehors des moments où ses œuvres sont affichées à l’écran, on n’en reparle plus, sauf à la toute fin ou elle dit que son combat, elle le mène au nom de l’amour et de l’art… ah oui ? Art dont on ne sait même pas comment tu le manies, pourquoi tu en crées et qu’est-ce que ça t’évoque ? Cet art ne dit rien sur elle parce qu’il n’est jamais utilisé pour dire quoi que ce soit sur elle.


Et « l’amour » dans ce film est une blague. Comment Harold (qu’on va appeler le protagoniste pour une référence assez évidente) tombe amoureux de Valérie ? Parce que le scénario le veut. Quand elle récolte ses éclats d’obus, un médecin condamne sa pratique car étant immonde et immorale, mais refusant de se laisser faire, Valérie hausse la voix ; c’est là que le protagoniste intervient en disant « laissez-là ». La seconde d’après elle l’embrasse, ils boivent, et décident d’aller à Amsterdam avec Burt. Comment voulez-vous sérieusement que je crois en cette histoire d’amour ? Il ne savait même pas ce qu’elle comptait faire de ses éclats et ne semble même pas investi dans la question, le protagoniste a juste dit laissez-là parce qu’elle l’ausculte, parce que ça peut aussi légitimement me faire dire ; elle aurait cherché à coucher avec le premier venu juste parce qu’il s’en fout de ce qu’elle fait des éclats ? Et à nouveau on aurait pu montrer de bien d’autres manières un amour absurde ou insensé mais beau se créer ; montrer qu’il comprend immédiatement ce qu’elle cherche à faire, créant donc la sensation de voir 2 âmes se rencontrer et se comprendre comme un coup de foudre (plutôt qu’une voix off 2 secondes plus tard qui dit « les 2 ont vu les enfants en eux » avec les 2 qui se regardent dans une certaine gêne et sans susciter d’intérêt quelconque), ou bien qu’il voit là une âme que jamais il n’avait vu auparavant et qu’il est amoureux de ce côté mystérieux, ou alors qu’il s’indigne du mauvais traitement de Valérie… mais pourtant on fonde toute leur histoire d’amour sur « je veux faire ça ! » « elle a le droit » « allons tous les 2 + l’autre à Amsterdam ! » « attends quoi ? Aussi vite ». On dirait du speed run. Ce n’est pas parce que ça se veut beau que ça le devient, et de la même manière, ce n’est pas parce qu’on dit que tel est fou ou tel est vaillant qu’il le devient automatiquement.

Et tout cela m’amène au message du film ; après 1h30 de rien, le film nous montre un peu plus ce qu’il cherche à raconter, et donc on passe 45 minutes avec un peu moins de rien. Quel est le message du film ? Une dénonciation de la bourgeoisie et du grand patronat qui cherche à imposer son modèle de race supérieur via un coup d'État en utilisant les anciens combattants pour faire un putsch. Ah ! Ça devient intéressant ! Bah non, parce qu’à nouveau c’est écrit avec le cul, parce que le film ne va pas plus loin que « les classes possédantes ont déjà tout mais ils sont grotesques parce qu’ils veulent encore plus, l’amour peut triompher de la haine » (OUI VRAIMENT ON A LE DROIT A "AMOUR BIEN HAINE PAS BIEN")… et c’est comme ça que vous comptez critiquer le fascisme ? Déjà le concept en soit est osé, critiquer le fascisme, attention Jaurès ! Tu vas te faire suicider de 37 coups de couteau dans le dos pour avoir dénoncé la vérité ! Mais au-delà de ça, quid de la critique des bourgeois ? Là ça aurait pu être intéressant, dénoncer la tendance du libéralisme à écraser le peuple en développant de nouvelles formes d’impérialisme que sont le fascisme… bah non, on va se contenter de 2 choses ; dire qu’ils sont injustes (et passer donc à côté d’une critique pertinente de la société qui aurait pu rendre le combat de nos protagonistes à la fois juste et passionnant), et « quand on a fait découvrir le coup aux yeux du monde entier, ils n’ont eu aucune répercussion, car ces gens s’en tirent toujours ». Et ? ET ? A nouveau, rien ! Juste 1 phrase pour dire ça !

A nouveau, critique-t-on la société et ce système qui a été conçu pour et par les bourgeois et qui condamne aussi bien les noirs que le protagoniste défend, utilise l’art comme propagande pour désigner ce qui est invalide sous des prétextes idéologiques et raciaux, et profite de la guerre ? NON, rien ! Comment se film fait pour, avec tous les outils sous ses mains, ne rien dire !

Et que l’on soit clair, je ne dis pas « le film est dans l’obligation de critiquer la société, d’avoir un message profond, ou de répondre à des exigences politiques », ce n’est pas le but de l’art… mais là le film prend parti, va dans une direction, puis décide de se scier les jambes et ne rien faire, d’où le fait que je critique son absence de messages pertinents, car quitte à dire quelque chose, autant le dire, non ? En fait on a un film qui dit annonce qu’il va te montrer quelque chose de spectaculaire, que tu ne vas pas en croire tes yeux, que tu dois être patient pour le voir… mais rien, il ne montre rien, il t’a vendu du vent pendant 2h15.
Et qu’est-ce qui est encore plus frustrant que cette fin ou on ne nous montre rien tout en nous disant que les patrons qui ont tenté de faire un putsch fasciste s’en sont tirés sans rien, mais qu’on ne dit rien de ça ? Nous le faire vendre comme un happy ending. Pourquoi ? Parce que Valérie et le protagoniste s’aiment, et que Burt réalise que l’amour et cette amitié est vraiment ce qui a de plus important… Par contre les fascistes on s’en fout. Et ce beau monde, il peut enfin aller ou il veut, après avoir été séparé si longtemps, et vont pouvoir repartir à Amsterdam… ou pas étant donné qu’on est en 1933 et que l’Allemagne Nazie est la porte d’à côté, du coup ils vont dans un pays chaud. Voilà. Et Burt ne part pas, bien qu’il aurait vraiment voulu, et comment on te filme ce poids émotionnel que va porter notre Burt à l'idée qu'il restera loin de ses amis ? Sans ingéniosité ni créativité, donc juste en filmant sa tête.

Oui la fin est nulle, d’autant plus quand tu reviens me faire avaler que l’amour et l’art sont les choses qui vont ont permis de l’emporter, et que c’est ce qui vous caractérise… une fin aussi inconsistante que tout le film en fait.

En fait ce film ne propose rien, et nous laisse pas sur notre faim, car il nous a à peine donner un apéritif sans saveur qui n’a rien à voir avec le plat principal, comme si l’on passait de chips sans paquet depuis 1 semaine à une dinde fourrée qui est insuffisante pour nourrir ne serait-ce que 1 personne, mais qu’on t’a vendu comme un met divin sans même savoir ce que ça allait être.

J’ai vu 132 films au cinéma de toute ma vie, c’est le pire que j’ai vu, et pourtant il y avait des affreuses merdes comme HellBoy (2019) et Star Wars 9 dedans… fuyez tant qu’il en ait encore temps.

PS : pourquoi ce titre de film ? D’accord c’est là que votre amitié s'est construite, mais c’est pas vraiment elle qui a permis d’élucider le crime, encore moins le coup. Vous êtes restés 15 minutes à Amsterdam… quitte à rester dans le thème du film, appelez le « un coup contre l’Amérique », ou quelque chose de plus mystérieux, qu’importe, mais Amsterdam c’est anecdotique tant ça contribue peu à l’histoire… mais ça contribuera toujours plus à raconter une histoire que le réalisateur n’en a fait avec ce film.

Hic-Sunt-Dracones
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le 1 nov. 2023

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