le 25 août 2020
Tanchélique
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Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Angélique version Ariel Zeitoun a beau s’échiner à artificiellement accélérer son rythme et gonfler sa mise en scène, dopée aux stéroïdes d’un certain cinéma d’action à l’américaine, rien ne justifie jamais, une heure cinquante durant, les motivations profondes de son existence en tant que projet autonome. Le titre se révèle d’ailleurs fallacieux, puisque notre héroïne occupe moins de temps d’écran que le comte Joffrey de Peyrac, et ses apparitions se voient elles aussi concurrencées par des plans sur d’autres personnages, d’autres actions parasites qui la projettent vers un après sans elle. À défaut d’être considérée, Nora Arnezeder échoue à incarner Angélique, là où Gérard Lanvin campe un Peyrac convaincant parce qu’omniprésent et charismatique. Nous déplorerons l’explicitation à outrance des enjeux cachés, la condamnation de la subtilité au profit de discours à la fois dépourvus de naturel et terriblement didactiques, la réactualisation balourde des enjeux émancipatoires, les carences esthétiques dans la mesure où les séquences, disposant chacune d’une unité de lieu et de ton, sont mixées les unes avec les autres. Nous n’y comprenons plus rien, mais qu’y avait-il à comprendre ?
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il y a 5 jours
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