Du sang, du sexe et de l'ennui
On aura rarement trouvé si peu d’intérêt à un film. August underground n’a aucune raison d’exister. Par ailleurs, il n’existerait pas que l’univers du Cinéma en demeurerait inchangé.August...
le 7 déc. 2023
1 j'aime
Une réalisation Jean Rolinesque, un scénario digne d'un vlog de Natoo, une qualité semblable à celle de mes videos de skate filmé en 2007 sur un archos, rien ne va si ce n'est le jeu d'acteur du réal en personnage principal qui entre très bien dans le rôle du dérangé total. Finalement assez fidèle de ce à quoi ressemblerait le vlog de deux psychopathes whitetrash attardés équipé d'un caméscope 144p. C'etait le but et c'est réussi, ça ne présente pas pour autant un quelconque intérêt. On s'ennuie et l'action n'est même pas choquante tellement tout est cheap et caricatural. Les violences sont cachée et les décors/maquillages sont vainement sauvés par le nombre de pixels à 2 chiffres. Une meilleure caméra aurait montré que les excrément utilisés dans le film était en réalité du brownie cuisiné par la mère du réal pour l'occasion (histoire vraie tirée du making of).
Créée
le 18 juil. 2025
Critique lue 22 fois
On aura rarement trouvé si peu d’intérêt à un film. August underground n’a aucune raison d’exister. Par ailleurs, il n’existerait pas que l’univers du Cinéma en demeurerait inchangé.August...
le 7 déc. 2023
1 j'aime
Une réalisation Jean Rolinesque, un scénario digne d'un vlog de Natoo, une qualité semblable à celle de mes videos de skate filmé en 2007 sur un archos, rien ne va si ce n'est le jeu d'acteur du réal...
le 18 juil. 2025
C’est le premier film de Fred Vogel.Ce film nous fait suivre les vidéo trouver d’un criminel et de son caméraman en en train de faire leurs meurtre de manière brutale. Ce film malgré sa violence...
Par
le 10 mars 2025
Une réalisation Jean Rolinesque, un scénario digne d'un vlog de Natoo, une qualité semblable à celle de mes videos de skate filmé en 2007 sur un archos, rien ne va si ce n'est le jeu d'acteur du réal...
le 18 juil. 2025
Suite de carne sous la forme d'une heure trente de haine vicérale. Développement des idées présentes en filigrane dans carne. Ton toujours aussi cinglant, narration froide et brutale bien que plus...
le 18 juil. 2025
Ambiance oppressante et ton/méthode lourdaude justifiée. Le film semble d'abord amener une morale maladroite pour ensuite poursuivre de manière plus intéressante sur des questionnements plus...
le 18 juil. 2025