Au pied du mur
J'adore aller voir ce genre de film un peu conceptuel, surtout quand on a la chance qu'il sorte sur nos écrans Ici, le concept est certes déjà vu, mais c'est diablement bien tourné. Un couple veut...
Par
le 1 mai 2024
20 j'aime
10
Border Line s’articule autour d’un concept simple qui se déploie en un film tendu, presque suffocant : un couple en quête d’avenir tente de franchir une frontière, mais c’est surtout la frontière émotionnelle entre eux qui sera proie au doute et à l'érosion progressive.
Ce thriller s'ancre dans une réflexion plus large, questionnant les libertés individuelles, révélant les frontières invisibles qui divisent autant que celles que l’on cherche à traverser.
Le jeu des acteurs, subtil et nuancé, couplé à une mise en scène factuelle, maintient un rythme anxiogène, sans répit, que la courte durée du film intensifie encore davantage.
Créée
le 24 oct. 2024
Critique lue 148 fois
7 j'aime
J'adore aller voir ce genre de film un peu conceptuel, surtout quand on a la chance qu'il sorte sur nos écrans Ici, le concept est certes déjà vu, mais c'est diablement bien tourné. Un couple veut...
Par
le 1 mai 2024
20 j'aime
10
Par bien des aspects, Border Line m’a fait penser au film Danois The Guilty, réalisé par Gustav Möller et sorti au cinéma en 2018. En effet, les deux films sont des premiers longs métrages, qui...
Par
le 2 mai 2024
18 j'aime
7
D'origine vénézuélienne mais installés depuis plusieurs années à Barcelone, les réalisateurs de Border Line ("traduction" française de Upon Entry), Alejandro Rojas et Juan Sebastián Vasquez, ont...
le 27 mars 2024
8 j'aime
Luca Guadagnino s’empare de Queer avec la ferveur d’un archéologue fou, creusant dans la prose de Burroughs pour en extraire la matière brute de son roman. Il flotte sur Queer un air de mélancolie...
Par
le 14 févr. 2025
32 j'aime
1
Après Jackie et Spencer, Pablo Larrain clôt sa trilogie biographique féminine en explorant l'énigme, Maria Callas.Loin des carcans du biopic académique, Larraín s’affranchit des codes et de la...
Par
le 17 déc. 2024
30 j'aime
4
Sous la main de Tim Mielants, le silence s'immisce dans chaque plan, une ombre qui plane sur l’âme lugubre de son œuvre. La bande sonore, pesante, s’entrelace à une mise en scène austère, plongeant...
Par
le 20 nov. 2024
30 j'aime
1