Avec l'absence de Belmondo, le film devoile sa vraie nature : un film a la gloire de Delon qui peut jouer les gangsters qu'il a tant affectionne dans les annees 70. Oui mais force est de constater qu'il n'est ni Al Pacino ni Robert de Niro, et que Borsalino & Co est encore plus faible narrativement et plat filmiquement que son predecesseur. C'est dire.
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le 30 sept. 2010

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