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Wanna Play For3v3r..?
Sous la pression du studio Universal, Don Mancini se lance dans l'écriture précipitée du troisième épisode alors même que le second n'est pas encore sorti. Celui-ci se plie à l'exercice de mauvaise...
le 22 juin 2019
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He wants you for best friend.
Tourné à la suite du précédent mais se déroulant huit ans après les faits, "Chucky 3" plante cette fois son décor dans une académie militaire où vient d'atterrir le jeune Andy Barclay, désormais âgé de seize ans et que poursuit inlassablement la poupée tueuse, ramenée involontairement à la vie par des buisinessmen sans scrupules.
Passé un générique sympathique, il est clair que ce troisième volet ne fera pas d'étincelles. N'exploitant jamais son cadre original, il se contente de reprendre bêtement les codes de l'épisode précédent et d'aligner les (timides) mises à mort, tout en ôtant toute aura mystérieuse au personnage de Chucky, définitivement filmé comme une version lilliputienne de Freddy Krueger.
Budget réduit oblige, les effets spéciaux manquent de crédibilité et la mise en scène ne fait pas de miracle mais le film, principalement soporifique, se rattrape quelque peu dans un final sympathique se déroulant dans une fête foraine. Rien de grandiose là-dedans mais rien de totalement désagréable non plus, juste un produit de basse consommation comme il en pleuvait à l'époque dans tout bon vidéoclub.
Passé un générique sympathique, il est clair que ce troisième volet ne fera pas d'étincelles. N'exploitant jamais son cadre original, il se contente de reprendre bêtement les codes de l'épisode précédent et d'aligner les (timides) mises à mort, tout en ôtant toute aura mystérieuse au personnage de Chucky, définitivement filmé comme une version lilliputienne de Freddy Krueger.
Budget réduit oblige, les effets spéciaux manquent de crédibilité et la mise en scène ne fait pas de miracle mais le film, principalement soporifique, se rattrape quelque peu dans un final sympathique se déroulant dans une fête foraine. Rien de grandiose là-dedans mais rien de totalement désagréable non plus, juste un produit de basse consommation comme il en pleuvait à l'époque dans tout bon vidéoclub.
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Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Gand-Alf and Emma Peel's Excellent Bluraythèque., 365 days of magic... or not., Petites séances avec ma blonde pas vraiment blonde., 1991. et Universal Pictures - The 90's.
Créée
le 25 avr. 2014
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