George A. Romero qui prend le Snowpiercer

J'avoue avoir un peu la flemme de faire cette critique vu que moi ce que j'aime bien c'est démonter les films, et là bah y a pas grand-chose à critiquer quoi... En plus d'habitude je réfléchis un peu à ce que je vais écrire pendant que je regarde le film mais là j'étais tellement dedans que j'ai pas trouvé de punchlines à mettre dans ce texte (vous remarquerez que d'habitude non plus je ne trouve pas de punchlines, mais j'ai au moins quelques phrases déjà prêtes dans ma tête, donc faites pas les batards et posez ces pierres svp!), donc ça vous donne un peu l'idée quoi. Bref, parlons du film. On est chez les bridés (et c'est pas raciste, c'est un pays où vivent des gens bridés donc c'est chez les bridés. J'entends déjà les gens m'incendier dans la rue me traitant de raciste (car oui j'ai atteint un stade de la célébrité ou on me reconnait dans la rue. Plutôt lourd du haut de mes 8 abonnés #soyezpasjaloux...), et donc je pose mes arguments avant de faire péter une jambe. J'aurais dis "niakwé", oui là ok c'est raciste, mais "bridé" ça passe...). Donc on est chez les niakwés, plus précisément dans un train (c'est un train coréen donc t'imagines le truc, ils sont dans le turfu ces gars là donc y a des aquariums, des jacuzzis, une salle de classe... ah on me prévient dans mon oreillette que je me trompe de film... hein?... quoi? Snowpiercer? Mais ils sont chiants aussi les coréens, j'ai dû voir trois films coréens de ma vie, y'en a deux qui se passent full dans un train. Bref faut que je m'arrête parce que j'ai toujours pas parlé du film. Enfin je suis sûr ils ont quand même la fibre ou un bail comme aç dans leur bridexpress là...), et y a une invasions de zombies (enfin c'est jamais présenté comme ça mais c'est clairement ce qu'il se passe, faut arrêter de chercher des périphrases à la con, c'est des zombie bordel!!), donc on suit un groupe de voyageurs qui tentent de survivre durant ce trajet sponsorisé par la SNCF (car oui y a qu'avec la SNCF que t'as ce genre de merdes qui arrivent (bon j'avoue c'est un peu poussif y a rarement eu de trains arrêtés (ou plutôt forcés à continuer de rouler) à cause de zombies... enfin je crois... suspense). Et du coup, c'est génial! On s'ennuie jamais, le rythme est très prenant et les idées se renouvellent sans cesse, ce qui fait qu'on se lasse jamais de ce périple ferroviaire. Certaines scènes nous scotchent à notre siège tel un décollage à la Mark Watney, enfin pas à ce point quand même c'est les fragiles qui disent ça, j'suis un bonhomme moi oh! Mais on est vraiment pris par l'histoire, les personnages, que certaines séquences deviennent à couper le souffle genre comme quand tu découvres le nouvel album de Jul quoi... Du coup j'ai pas grand chose à dire, à part que c'est un des films de l'année (oui merci, on le savait vu qu'il est sorti en 2016 et qu'on est en 2016, par conséquent c'est un film de cette année, merci.), et qu'il faut aller le voir parce que c'est un très très bon film de zombie (pas un blockbuster à la World War Z qui t'en met plein la vue, ok, mais après t'as la trombine de Brad Pitt dans la tête, genre comme une chanson de merde (Ouragan de Stéphanie perso, les journées sont parfois trèèès longues...), mais version image subliminale de Bradounet cheveux trop longs). Et oui c'est finis j'ai écrit 10 mots sur le film ET ALORS?! Est ce que c'est censé être une critique de film?! Oui! Bon... (dans ma tête avec la bonne intonation, cette phrase passe plutôt bien, donc ceux qui se plaignent fermez-la sinon je fais ma prochaine critique en fourchelangue ce sera pas la même...)