Réduits à survivre
La très grande force de Dirty Pretty Things est de coudre ensemble une dénonciation sans compromis des conditions de travail que doivent subir les invisibles, c’est-à-dire ceux qui ne disposent pas...
le 15 mars 2020
3 j'aime
Audrey Tautou joue une immigrante turque déterminée à rester en Angleterre pour sortir de la misère. Elle passe tout le film à essayer de refiler son rein en loucedé en échange d'un passeport. C'est déprimant ! Et puis il pleut en continu et il ne fait jamais vraiment jour là-bas. Chaque image du film pourrait faire douter de l'existence du Christ à un chrétien convaincu. Les cheveux gras et des cernes morbides sous les yeux, Audrey Tautou n'est pas à son avantage. Capuches et cols roulés lui collent à la tronche. Stephen Frears nous fait douter de sa sexualité et de la notre. Cet homme-là n'est pas seulement laid physiquement, ses films le sont aussi. Il manque un rein et deux testicules à Dirty Pretty Things.
Créée
le 21 juil. 2018
Critique lue 407 fois
La très grande force de Dirty Pretty Things est de coudre ensemble une dénonciation sans compromis des conditions de travail que doivent subir les invisibles, c’est-à-dire ceux qui ne disposent pas...
le 15 mars 2020
3 j'aime
Un homme d'origine nigériane vit à Londres dans un hôtel miteux de Londres en compagnie d'une jeune femme turque en quête de papiers. Réfugié illégalement en Angleterre, poursuivis par les servies...
Par
le 18 mars 2022
1 j'aime
On pense au début que Stephen Frears renoue avec son premier amour avec ce film celui de la comédie dramatique sociale avec galerie de personnages aux accents multiculturels. On suit plusieurs...
Par
le 18 juin 2020
Un scénario classique ! Deux potes venus de Londres partent en week-end à la chasse dans un coin reculé d’Écosse. Là-bas, un accident de chasse terrible va bouleverser tout leurs plans... Impression...
le 11 août 2018
10 j'aime
3
Dès sa scène d'introduction, amusante et inattendue, tout est là et le décor est planté, tous les éléments qu'explorera par la suite la cinéaste sont réunis, ne demandant qu'à éclore pour de bon...
le 19 avr. 2022
9 j'aime
90 minutes en compagnie de suprémacistes blanches, c'est long, surtout quand le seul projet de la cinéaste semble être de nous mettre le plus mal à l'aise possible. Ah ça, c'est réussi. Nous avons...
le 15 avr. 2023
8 j'aime